Le prix du Brent a chuté à un niveau historiquement bas en quatre mois, affecté par l’augmentation de la production de l’OPEP+ et l’instabilité géopolitique mondiale. Le cartel pétrolier, regroupant les pays membres de l’OPEP et leurs alliés, dont la Russie, a décidé d’accroître son extraction de 138 000 barils par jour, une première depuis 2022.
Cette hausse de production intervient dans un contexte où la demande mondiale ralentit, notamment en raison de la conjoncture économique en Chine et aux États-Unis. Par ailleurs, les incertitudes liées aux tensions au Moyen-Orient et aux sanctions contre la Russie contribuent à une volatilité accrue des prix du pétrole.
Les marchés pétroliers restent sous pression, avec une offre excédentaire qui pourrait maintenir le Brent sous la barre des 80 dollars le baril dans les semaines à venir. Cette situation pourrait impacter les économies dépendantes des revenus pétroliers et influencer la politique monétaire des grandes puissances.
Cette hausse de production intervient dans un contexte où la demande mondiale ralentit, notamment en raison de la conjoncture économique en Chine et aux États-Unis. Par ailleurs, les incertitudes liées aux tensions au Moyen-Orient et aux sanctions contre la Russie contribuent à une volatilité accrue des prix du pétrole.
Les marchés pétroliers restent sous pression, avec une offre excédentaire qui pourrait maintenir le Brent sous la barre des 80 dollars le baril dans les semaines à venir. Cette situation pourrait impacter les économies dépendantes des revenus pétroliers et influencer la politique monétaire des grandes puissances.