Moody’s, l'une des principales agences de notation financière dans le monde, a confirmé la note Ba1 pour le Maroc, soulignant une certaine stabilité et résilience de la gestion économique du pays. Cette décision intervient malgré des indicateurs de fragilité comme le faible revenu moyen par habitant et une dette publique qui continue de croître. Toutefois, cette évaluation montre aussi que le Maroc a su maintenir un équilibre dans ses politiques économiques, ce qui pourrait rassurer les investisseurs internationaux.
Pour capitaliser sur cette confiance et diversifier ses sources de financement, le Maroc envisage de lever des fonds sur le marché international. Dès demain, le pays commencera un roadshow dans des centres financiers clés, Paris et Londres. Cette démarche vise à attirer des investisseurs institutionnels, en mettant en avant des opportunités d’investissement dans le royaume. Quatre établissements financiers d’envergure mondiale - BNP Paribas, Citi, Deutsche Bank et J.P. Morgan - ont été choisis pour jouer un rôle central dans l’organisation de ces rencontres stratégiques.
L’émission obligataire annoncée, qui sera libellée en euros, s'étalera sur deux tranches d'une durée de 4 et 10 ans. Les fonds levés seront principalement alloués à des réformes économiques et à des projets d’infrastructure, reflétant une volonté de moderniser l’économie et d'accroître sa compétitivité. De tels projets pourraient inclure l’amélioration des réseaux de transport, l’innovation technologique, ou encore des initiatives écologiques, contribuant ainsi à renforcer la résilience et la durabilité du modèle économique national.
Ce virage stratégique intervient à un moment charnière pour le royaume, qui cherche à maintenir une croissance soutenue malgré un contexte global incertain et des pressions économiques. La réussite de cette levée de fonds serait un signal fort de confiance des investisseurs et un levier clé pour accélérer les transformations nécessaires à une économie marocaine plus robuste et inclusive.
Pour capitaliser sur cette confiance et diversifier ses sources de financement, le Maroc envisage de lever des fonds sur le marché international. Dès demain, le pays commencera un roadshow dans des centres financiers clés, Paris et Londres. Cette démarche vise à attirer des investisseurs institutionnels, en mettant en avant des opportunités d’investissement dans le royaume. Quatre établissements financiers d’envergure mondiale - BNP Paribas, Citi, Deutsche Bank et J.P. Morgan - ont été choisis pour jouer un rôle central dans l’organisation de ces rencontres stratégiques.
L’émission obligataire annoncée, qui sera libellée en euros, s'étalera sur deux tranches d'une durée de 4 et 10 ans. Les fonds levés seront principalement alloués à des réformes économiques et à des projets d’infrastructure, reflétant une volonté de moderniser l’économie et d'accroître sa compétitivité. De tels projets pourraient inclure l’amélioration des réseaux de transport, l’innovation technologique, ou encore des initiatives écologiques, contribuant ainsi à renforcer la résilience et la durabilité du modèle économique national.
Ce virage stratégique intervient à un moment charnière pour le royaume, qui cherche à maintenir une croissance soutenue malgré un contexte global incertain et des pressions économiques. La réussite de cette levée de fonds serait un signal fort de confiance des investisseurs et un levier clé pour accélérer les transformations nécessaires à une économie marocaine plus robuste et inclusive.