






Coup de cœur
Perspectives et Réflexions libres des chroniqueurs, experts et internautes invités
Abdelmaksoud s'en est allé, Silencieux dans l’aube voilée, Sa lumière a déserté, Mais son art vient murmurer.
Dans la poussière et l’oubli, L’espoir fragile, meurtri, Le rêve d’un bras tendu, S’efface, déçu, perdu.
Le monde est en errance, Sous l'ombre du pouvoir, Démocratie en danse, S'efface son espoir.
Une chaise, un pouvoir Un successeur pour mieux faire
Cache ta joie, dis tout bas, Car l’envie rôde ici-bas, Chante en secret ton éclat, Le bonheur fait des dégâts.
Je suis ni pour ni contre, c'est clair, Je marche entre l'ombre et la lumière, Pas besoin de choisir un camp, Je suis libre, tout simplement.
L'âge nous effleure, et puis nous trahit, Comme un murmure au creux de la nuit. Les souvenirs s'attachent, les corps se fanent, Mais l'âme, rebelle, jamais ne se damne.
L'âge, c'est un secret, Le temps, un vent léger. La jeunesse est en nous, Chaque jour, un renouveau.
Certes, il m’arrive, souvent sans le vouloir, De ne pas tout saisir aux premiers coups du soir. L’esprit se trouble, les mots deviennent brumeux, Et les idées flottent dans des songes fumeux.
Critique sincère, je t’ouvre mon cœur. Mauvaise manière, tu sèmes l’erreur. Paroles aimées, que l’échange soit droit ! Voix envenimées, je vous laisse sans moi.
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