Poème en musique de Adnane Benchakroun
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème de Adnane Benchakroun
Le temps suspend son impatience.
Trouver l’âme, c’est la question,
Changer l’homme n’est qu’illusion.
Changer un homme, c’est facile, dit-on,
Un poste vacant, une nouvelle mission,
Mais l’ombre plane sur l’avenir incertain,
Car qui portera ce fardeau en demain ?
L’étoffe du pouvoir ne s’offre à tous,
Trouver celui qui brille malgré tout,
Celui qui saura marcher dans les pas,
Ou tracer sa voie, sans faux éclats.
Le plus grand défi n’est pas le départ,
Mais de trouver l’âme au cœur épars,
Qui saura mener, guider, inspirer,
Sans jamais laisser l’espoir s’étioler.
Car la chaise est vide si l’homme est absent,
Le pouvoir est fragile, instable, mouvant,
Changer est facile, le vrai combat,
C’est de trouver celui qui ne trahit pas.
Dans cette quête, les doutes s’érigent,
Mais l’avenir s’écrit sous un nouveau signe,
Car parfois le meilleur successeur,
Est celui qu’on ne soupçonnait d’aucune lueur.
Le poème "Le Poids du Successeur" traite de la difficulté de remplacer une personne occupant un poste de responsabilité.
La "chaise vide" symbolise l'absence du successeur et la fragilité du pouvoir, instable tant qu’un digne successeur n'est pas trouvé.
Le poème insiste sur l’incertitude et les doutes entourant ce processus, tout en suggérant que le meilleur remplaçant peut parfois être une personne inattendue, dont la valeur n'avait pas encore été pleinement perçue.