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Trois ans de prison ferme pour meurtre de l’étudiant Benaissa Ait El Jid en 1993 13/07/2023
La chambre criminelle de la Cour d’appel de Fès a livré son verdict, mardi, dans le dossier du meurtre de l’étudiant Benaissa Ait El Jid en 1993.
Le dirigeant PJDiste Abdelali Hamieddine a écopé de trois ans de prison ferme pour coups et blessures menant à la mort sans l’intention de l’infliger. Hamieddine avait pourtant déclaré ne pas avoir participé aux affrontements entre étudiants gauchistes et islamistes dans le quartier «Sidi Brahim» (où le meurtre avait été commis) mais dans la Faculté de Droit au sein de laquelle il avait été blessé à la tête le jour du meurtre.
Le Secrétariat général du Parti Justice et Développement (PJD) exprime son «soutien et sa solidarité absolue» avec son dirigeant Abdelali Hamieddine, à la suite de sa condamnation, mardi, en première instance à trois ans de prison ferme dans l’«affaire Ait El Jid», dénonçant «un procès aux dessous politiques».
Le dirigeant PJDiste Abdelali Hamieddine a écopé de trois ans de prison ferme pour coups et blessures menant à la mort sans l’intention de l’infliger. Hamieddine avait pourtant déclaré ne pas avoir participé aux affrontements entre étudiants gauchistes et islamistes dans le quartier «Sidi Brahim» (où le meurtre avait été commis) mais dans la Faculté de Droit au sein de laquelle il avait été blessé à la tête le jour du meurtre.
Le Secrétariat général du Parti Justice et Développement (PJD) exprime son «soutien et sa solidarité absolue» avec son dirigeant Abdelali Hamieddine, à la suite de sa condamnation, mardi, en première instance à trois ans de prison ferme dans l’«affaire Ait El Jid», dénonçant «un procès aux dessous politiques».
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12 marocains libérés à Myanmar
Libération des citoyens marocains retenus en otage par des gangs au Myanmar grâce aux efforts conjoints du Maroc et de la Thaïlande
L'armée thaïlandaise a récemment libéré 12 citoyens marocains retenus en otage par des gangs opérant au Myanmar. Ces Marocains faisaient partie d'un groupe de 21 personnes attirées par des offres d'emploi alléchantes dans des casinos, mais qui se sont retrouvées piégées dans des centres d'appel dirigés par des criminels à Myawaddy, une ville frontalière. Cette opération de sauvetage, menée en collaboration avec l'ambassade du Maroc en Thaïlande, souligne la gravité des réseaux de traite des êtres humains en Asie du Sud-Est.
La libération a été rendue possible grâce à l'intervention du parlementaire thaïlandais Rangsiman Rome, contacté en mai par la représentation diplomatique marocaine. Ce succès marque une étape cruciale dans la lutte contre les réseaux de trafiquants et met en lumière les dangers auxquels sont confrontés les migrants à la recherche de meilleures opportunités économiques. La coopération internationale s'avère essentielle pour combattre ce fléau et protéger les plus vulnérables.
La libération a été rendue possible grâce à l'intervention du parlementaire thaïlandais Rangsiman Rome, contacté en mai par la représentation diplomatique marocaine. Ce succès marque une étape cruciale dans la lutte contre les réseaux de trafiquants et met en lumière les dangers auxquels sont confrontés les migrants à la recherche de meilleures opportunités économiques. La coopération internationale s'avère essentielle pour combattre ce fléau et protéger les plus vulnérables.
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