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Le Maroc a prolongé jusqu’à la fin de 2024 son accord de coopération avec la Russie dans le domaine de la pêche maritime. Cet accord, signé initialement en 2020, permet à des flottes russes d’opérer dans les eaux marocaines, en échange de recherches conjointes et de contreparties économiques. Cette extension montre la volonté des deux pays de continuer à coopérer dans un secteur stratégique pour les deux économies.

L'accord Maroco-Russe, dans un contexte international où la Russie est de plus en plus isolée sur certains fronts diplomatiques. Cet accord pourrait offrir au Maroc une position stratégique dans ses négociations internationales. L’exploitation des ressources halieutiques est essentielle pour le Maroc, notamment pour les régions côtières où la pêche représente un pilier de l’économie locale. Cependant, certains observateurs craignent que cet accord puisse affecter les ressources halieutiques à long terme, si une gestion durable n’est pas strictement respectée.

D’autres pays côtiers, comme la Mauritanie ou la Namibie, ont également signé des accords similaires avec des puissances étrangères pour exploiter leurs ressources maritimes. Cependant, la question de la durabilité et de la gestion des ressources reste cruciale pour éviter un appauvrissement des stocks de poissons.

L’extension de cet accord de pêche avec la Russie témoigne d'une volonté de maintenir des relations économiques fortes entre les deux pays. Cependant, la gestion des ressources maritimes à long terme devra être une priorité pour éviter un épuisement des ressources, tout en profitant des avantages économiques à court terme.

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La Direction Générale de la Météorologie (DGM) a publié son rapport annuel sur l’état du climat au Maroc pour l’année 2023. Le document révèle que cette année a été la plus sèche jamais enregistrée au Maroc depuis au moins 80 ans, exacerbant la crise hydrique qui touche le pays. Cette situation critique est attribuée à des phénomènes climatiques extrêmes qui affectent la région, notamment la baisse significative des précipitations et l’augmentation des températures.

La situation de séchresse que connait le royaume représente un défi majeur pour le gouvernement, qui doit accélérer la mise en place de politiques visant à gérer durablement les ressources en eau. La sécheresse met également en lumière les limites des infrastructures hydriques actuelles et l’urgence de développer des solutions comme la dessalinisation et le recyclage des eaux usées.

La sécheresse a des impacts directs sur l’agriculture, un secteur clé de l’économie marocaine, entraînant des baisses de production et augmentant la pression sur les prix alimentaires. Cela affecte les populations rurales qui dépendent de l’agriculture, exacerbant les inégalités et la migration vers les zones urbaines.

D’autres pays de la région MENA, comme la Tunisie et l’Algérie, sont confrontés à des crises similaires, liées à la sécheresse et au changement climatique. Cependant, des exemples comme Israël montrent qu’avec des technologies avancées, il est possible de surmonter la pénurie d’eau à long terme.

L’année 2023 marque un tournant pour le Maroc en matière de gestion de l’eau, mettant en évidence la nécessité de repenser les stratégies hydriques à long terme. La pression sur les ressources naturelles continuera de s’intensifier avec le changement climatique, et des solutions durables doivent être adoptées pour éviter des crises futures.


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Brigitte Macron, Première Dame de France, a visité l'exposition dédiée à l'artiste marocain Mehdi Qotbi à l'Institut du Monde Arabe à Paris.

Cet événement met en avant les œuvres de Qotbi, qui combinent les influences arabo-musulmanes et occidentales, et souligne l'intérêt des hautes sphères françaises pour la culture marocaine.

Le Maroc et les États-Unis renforcent leurs liens grâce à un accord de jumelage entre la ville de Dakhla et Columbus, dans l’Ohio.

Ce partenariat vise à développer des relations dans les domaines du commerce, de la culture, et de l’éducation.

Cet accord s’inscrit dans la stratégie marocaine de diversification de ses partenariats internationaux et pourrait offrir de nouvelles opportunités économiques et culturelles aux deux villes.

 Selon les dernières données du ministère de l'Équipement et de l'Eau sur la situation des barrages du Maroc, les pluies enregistrées depuis fin août ont grandement profité aux différents bassins du Royaume. Entre le 22 août et le 14 octobre 2024, les barrages ont enregistré des apports en eau totalisant 780 millions de mètres cubes. Cette quantité a permis de revitaliser les barrages et d’assurer l’approvisionnement en eau potable dans plusieurs régions, tout en contribuant de manière significative à la recharge des nappes phréatiques.