L'ODJ Média

À Deroua, la Gendarmerie royale a intercepté deux camions transportant une importante cargaison de viande avariée destinée à la vente illégale avant l’Aïd al-Adha.

Les produits provenaient d’abattages clandestins dans la province de Berrechid, en violation de l’interdiction temporaire. L’intervention a permis de saisir des carcasses impropres à la consommation, dont certaines proposées à des prix très élevés.

Les suspects prévoyaient d’écouler cette marchandise dans les environs de Casablanca. Une enquête est en cours pour identifier tous les responsables de ce trafic mettant en péril la santé publique.

À la suite de la décision du roi Mohammed VI d’annuler le sacrifice de l’Aïd al-Adha en raison de la sécheresse et de la crise économique, les autorités marocaines ont ordonné la fermeture des marchés de bétail dans plusieurs régions.

Cette mesure concerne notamment Khénifra, Rabat, Al Hoceima, Tanger ou encore Casablanca, où des campagnes strictes ont été menées contre les ventes illégales. Les métiers saisonniers liés à la fête sont fortement impactés.

Ce n’est pas la première fois que cette fête est suspendue pour des raisons climatiques, comme ce fut le cas sous Hassan II.

Ces campagnes malveillantes, menées par des individus en fuite, exploitent les réseaux sociaux pour ternir la réputation des juges et régler des comptes personnels. Face à un vide juridique limitant les poursuites, la situation devient préoccupante.

Le Club des juges appelle à une riposte ferme, plaidant pour des mécanismes de protection renforcés afin de préserver la dignité de la justice et défendre ses représentants.

Pour combler le déficit en ressources humaines dans le secteur de la santé, en particulier dans les zones rurales, le Maroc mise sur le recrutement de médecins étrangers et l’augmentation des effectifs nationaux.

Un budget de 3 MMDH est mobilisé pour renforcer la formation et moderniser les infrastructures. Objectif : atteindre 45 professionnels de santé pour 10.000 citoyens d’ici à 2030.

Le ministre de la Santé alerte sur la faible attractivité du secteur public et la forte concurrence internationale. En réponse, des mesures stratégiques sont engagées pour élargir la couverture sanitaire et renforcer l’offre publique de soins.

Le Mauritanien l’a emporté face aux quatre autres candidats après trois tours de scrutin. Il devient le 9e président de l’institution panafricaine pour les cinq prochaines années.