K-pop, k-drama, k-food, k-beauty… Depuis les années 1990, la Corée du Sud a su implanter sa touche dans de nombreux secteurs culturels et économiques.
Qualifiée de "hallyu" (traduit par "vague coréenne"), l’émergence du soft power sud-coréen est devenue une évidence tant par le succès rencontré par certaines offres culturelles (Squid Game, BTS, Blackpink, etc.) que par l’attrait des jeunes étrangers pour le pays (développant ainsi le tourisme). Ce rayonnement culturel est surtout le résultat d’une politique active par l’État de développement des industries culturelles et artistiques. Cette politique passe par des stratégies de protectionnisme culturel (avec, par exemple, les restrictions sur les produits japonais) et d’intelligence économique et technologique (en travaillant en étroite collaboration avec les conglomérats sud-coréens, appelés les "chaebols").
La vague coréenne participe certainement à la promotion des valeurs asiatiques au sens large. Malgré cela, ce rayonnement est également perçu comme un danger pour certains États de la région (notamment la Chine) qui souhaitent à leur tour développer leur propre influence culturelle.
Pour approfondir, rendez-vous jeudi 24 février 2022 à 18:00 Olivier Bailblé, directeur du département d’études asiatique de l'Université Aix-Marseille, au cours d'une vidéoconférence organisée par le département Asie du Sud, Pacifique & Océanie de l'IEGA, dirigé par Carla Haid et Yohan Briant.
Pour participer à cet événement, visitez ce lien.
Qualifiée de "hallyu" (traduit par "vague coréenne"), l’émergence du soft power sud-coréen est devenue une évidence tant par le succès rencontré par certaines offres culturelles (Squid Game, BTS, Blackpink, etc.) que par l’attrait des jeunes étrangers pour le pays (développant ainsi le tourisme). Ce rayonnement culturel est surtout le résultat d’une politique active par l’État de développement des industries culturelles et artistiques. Cette politique passe par des stratégies de protectionnisme culturel (avec, par exemple, les restrictions sur les produits japonais) et d’intelligence économique et technologique (en travaillant en étroite collaboration avec les conglomérats sud-coréens, appelés les "chaebols").
La vague coréenne participe certainement à la promotion des valeurs asiatiques au sens large. Malgré cela, ce rayonnement est également perçu comme un danger pour certains États de la région (notamment la Chine) qui souhaitent à leur tour développer leur propre influence culturelle.
Pour approfondir, rendez-vous jeudi 24 février 2022 à 18:00 Olivier Bailblé, directeur du département d’études asiatique de l'Université Aix-Marseille, au cours d'une vidéoconférence organisée par le département Asie du Sud, Pacifique & Océanie de l'IEGA, dirigé par Carla Haid et Yohan Briant.
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