Maroc : La Réforme de la TVA Ébranle le Marché Auto, mais la Révolution est en Marche
Bien que cette mesure soit entrée en vigueur en janvier, ses ramifications financières pour cette catégorie de véhicules très appréciée suscitent des inquiétudes majeures. L'article 99 de la loi, laissant l'application du nouveau taux soumise à des formalités à définir par voie réglementaire, jette un voile d'incertitude sur le marché automobile dans un contexte économique déjà précaire.
Questions sans réponses : Les incertitudes autour de la réforme de la TVA
Dans un paysage économique délicat, la légère augmentation des ventes de voitures souligne les préoccupations quant à l'impact potentiel de cette réforme sur le marché automobile. Ciblant spécifiquement les véhicules destinés au marché intérieur, cette nouvelle taxe met en évidence les appréhensions liées aux ventes des constructeurs locaux. Parmi eux, Dacia se démarque avec 33 830 ventes en 2023, représentant une part de marché de 23,3%. L'ajustement de la TVA sur les voitures économiques, initialement instauré dans les années 90 pour stimuler les investissements étrangers, est désormais sous examen, soulevant des questions cruciales.
Appel à l'unité : Préservation des intérêts des vendeurs de voitures économiques
Adil Bennani, président de l’Association des importateurs de véhicules au Maroc, sonne l'alarme sur l'impact potentiel sur les vendeurs de ce type de véhicules, appelant à un consensus entre les ministères, les autorités et les commerçants. La communauté des acteurs de l'industrie automobile est en alerte, s'inquiétant de l'effet de cette mesure, actuellement en cours de discussions entre le département du Budget et les principaux intervenants.
TVA et Révolution automobile au Maroc : Entre défis et opportunités
Malgré cette ombre sur le marché actuel, le Maroc, en attirant des constructeurs mondiaux, voit émerger des marques 100% marocaines comme NEO Motors et Namx. Ces dernières promettent de révolutionner le marché national et africain avec des modèles novateurs, même si les défis posés par la réforme de la TVA restent une épine dans le pied de l'industrie automobile au Maroc.
Questions sans réponses : Les incertitudes autour de la réforme de la TVA
Dans un paysage économique délicat, la légère augmentation des ventes de voitures souligne les préoccupations quant à l'impact potentiel de cette réforme sur le marché automobile. Ciblant spécifiquement les véhicules destinés au marché intérieur, cette nouvelle taxe met en évidence les appréhensions liées aux ventes des constructeurs locaux. Parmi eux, Dacia se démarque avec 33 830 ventes en 2023, représentant une part de marché de 23,3%. L'ajustement de la TVA sur les voitures économiques, initialement instauré dans les années 90 pour stimuler les investissements étrangers, est désormais sous examen, soulevant des questions cruciales.
Appel à l'unité : Préservation des intérêts des vendeurs de voitures économiques
Adil Bennani, président de l’Association des importateurs de véhicules au Maroc, sonne l'alarme sur l'impact potentiel sur les vendeurs de ce type de véhicules, appelant à un consensus entre les ministères, les autorités et les commerçants. La communauté des acteurs de l'industrie automobile est en alerte, s'inquiétant de l'effet de cette mesure, actuellement en cours de discussions entre le département du Budget et les principaux intervenants.
TVA et Révolution automobile au Maroc : Entre défis et opportunités
Malgré cette ombre sur le marché actuel, le Maroc, en attirant des constructeurs mondiaux, voit émerger des marques 100% marocaines comme NEO Motors et Namx. Ces dernières promettent de révolutionner le marché national et africain avec des modèles novateurs, même si les défis posés par la réforme de la TVA restent une épine dans le pied de l'industrie automobile au Maroc.