La sécheresse persistante au Maroc a sérieusement affecté la production agricole, entraînant une augmentation significative des importations de blé. Pour l'année 2024, ces importations pourraient atteindre 7,5 millions de tonnes, soit une hausse de 19% par rapport à l'année précédente.
Ce déficit céréalier menace la sécurité alimentaire du pays et pousse les autorités à rechercher des solutions à long terme. Le recours accru aux importations vise à compenser la baisse des rendements locaux et à stabiliser les prix sur le marché intérieur.
Cependant, cette dépendance accrue aux marchés internationaux expose le Maroc aux fluctuations des prix mondiaux et aux tensions commerciales. Les experts suggèrent des mesures telles que l'amélioration des techniques d'irrigation et l'adoption de variétés de blé résistantes à la sécheresse pour renforcer la résilience de l'agriculture marocaine face aux aléas climatiques.
Ce déficit céréalier menace la sécurité alimentaire du pays et pousse les autorités à rechercher des solutions à long terme. Le recours accru aux importations vise à compenser la baisse des rendements locaux et à stabiliser les prix sur le marché intérieur.
Cependant, cette dépendance accrue aux marchés internationaux expose le Maroc aux fluctuations des prix mondiaux et aux tensions commerciales. Les experts suggèrent des mesures telles que l'amélioration des techniques d'irrigation et l'adoption de variétés de blé résistantes à la sécheresse pour renforcer la résilience de l'agriculture marocaine face aux aléas climatiques.