Le quotidien Assabah du mercredi 8 décembre fait état de l’existence de plusieurs centres de formation des clubs qui ne répondent pas aux normes imposées par la Fédération royale marocaine de football (FRMF), alors que d’autres n’ont jamais connu la moindre activité.
Le Kawkab de Marrakech et le CODM (Meknès), qui disposent de centres de formation dont la construction a été financée par la FRMF, ont transformé ces centres en lieu d’hébergement des joueurs de leurs équipes premières.
Pourtant, la Fédération avait précisé dans son cahier des charges que les clubs doivent appliquer le système de sport et études dans le but de former les petites catégories de joueurs et nommer des cadres diplômés afin de les diriger.
Dans la réalité, dès que les joueurs finissent les entraînements, ils rentrent dans leurs maisons parentales pour dormir, sauf pour le cas de certains joueurs originaires d’une région lointaine.
Pour ne rien arranger, les clubs sont dans l’incapacité de payer les frais des études des joueurs dans des écoles privées. En cause, la grave crise financière qui a plombé les finances de la majorité des formations de la Botola, ainsi que la crise induite par le covid-19 qui a eu pour conséquence la fermeture de la majorité de ces centres de formation.
Enfin, la seule note positive qui contraste avec ce constat négatif, ce sont les clubs du FUS de Rabat et l'AS FAR dont les centres de formation tournent à plein régime, tout en utilisant à bon escient l'aide de la FRMF qui les finance à concurrence de 1,2 MDH.
Le Kawkab de Marrakech et le CODM (Meknès), qui disposent de centres de formation dont la construction a été financée par la FRMF, ont transformé ces centres en lieu d’hébergement des joueurs de leurs équipes premières.
Pourtant, la Fédération avait précisé dans son cahier des charges que les clubs doivent appliquer le système de sport et études dans le but de former les petites catégories de joueurs et nommer des cadres diplômés afin de les diriger.
Dans la réalité, dès que les joueurs finissent les entraînements, ils rentrent dans leurs maisons parentales pour dormir, sauf pour le cas de certains joueurs originaires d’une région lointaine.
Pour ne rien arranger, les clubs sont dans l’incapacité de payer les frais des études des joueurs dans des écoles privées. En cause, la grave crise financière qui a plombé les finances de la majorité des formations de la Botola, ainsi que la crise induite par le covid-19 qui a eu pour conséquence la fermeture de la majorité de ces centres de formation.
Enfin, la seule note positive qui contraste avec ce constat négatif, ce sont les clubs du FUS de Rabat et l'AS FAR dont les centres de formation tournent à plein régime, tout en utilisant à bon escient l'aide de la FRMF qui les finance à concurrence de 1,2 MDH.