Le comédien Abderrahim Tounsi, alias Abderraouf, est décédé ce lundi à l’âge de 87 ans après un long combat contre la maladie.
L’annonce a été faite par son fils Oussama. «Nous sommes à Dieu et à lui nous retournons. Mon père n’est plus», a-t-il écrit sur son compte Facebook.
L’annonce a été faite par son fils Oussama. «Nous sommes à Dieu et à lui nous retournons. Mon père n’est plus», a-t-il écrit sur son compte Facebook.
Le public a immédiatement réagi au décès de celui qui a fait le bonheur de toutes les générations. Plusieurs internautes ont exprimé leur chagrin suite à cette disparition et tenu à présenter leurs condoléances à la famille du défunt, leur souhaitant courage et patience pour surmonter cette épreuve.
Un symbole de l'humour marocain
Né en 1936, Abderrahim Tounsi jouait toujours ce personnage burlesque et ridicule qui est certes simple, mais qui ne tombe jamais dans la monotonie. Emprisonné par les autorités coloniales au début des années 50, Abderrahim Tounsi découvre une passion pour le théâtre qu'il ne tarde pas à développer. Sorti de prison, le jeune casablancais continue à jouer, avec ses anciens codétenus, «dans des cafés, des adaptations marocaines de Molière».
Le fameux personnage d'Abderraouf est né en 1967 en imitant un camarade d'école. Et depuis, la voix nasillarde, les attitudes ridicules et le tarbouch rouge sont devenus un symbole de l'humour marocain.
Rappelons qu'en octobre dernier, Abderraouf avait été admis à l’hôpital Cheikh Khalifa Bin Zayed Al Nayhan de Casablanca pour un malaise. L’artiste avait été hospitalisé après avoir souffert de difficulté respiratoire, ce qui a nécessité une assistance médicale.
L'ODJ avec lesiteinfo
Un symbole de l'humour marocain
Né en 1936, Abderrahim Tounsi jouait toujours ce personnage burlesque et ridicule qui est certes simple, mais qui ne tombe jamais dans la monotonie. Emprisonné par les autorités coloniales au début des années 50, Abderrahim Tounsi découvre une passion pour le théâtre qu'il ne tarde pas à développer. Sorti de prison, le jeune casablancais continue à jouer, avec ses anciens codétenus, «dans des cafés, des adaptations marocaines de Molière».
Le fameux personnage d'Abderraouf est né en 1967 en imitant un camarade d'école. Et depuis, la voix nasillarde, les attitudes ridicules et le tarbouch rouge sont devenus un symbole de l'humour marocain.
Rappelons qu'en octobre dernier, Abderraouf avait été admis à l’hôpital Cheikh Khalifa Bin Zayed Al Nayhan de Casablanca pour un malaise. L’artiste avait été hospitalisé après avoir souffert de difficulté respiratoire, ce qui a nécessité une assistance médicale.
L'ODJ avec lesiteinfo