Lors d'une interview accordée à Canal+ Sport Afrique, Pablo Longoria a pris la défense de la Coupe d'Afrique des Nations, qui est souvent au centre de débats animés entre les sélections et les clubs, ces derniers refusant parfois de libérer leurs joueurs africains.
Dans cette optique, le président de l'Olympique de Marseille a souligné l'importance de cette compétition continentale et a encouragé les clubs à lui accorder le respect qu'elle mérite.
Il est essentiel de rappeler que cette année encore, les clubs européens ont exprimé leurs réserves quant à la libération des joueurs pour la CAN, craignant que ces derniers ne se blessent pendant le tournoi et ne puissent donc pas performer au mieux en championnat.
Ces clubs soulignent également que les joueurs libérés continuent de toucher leur salaire et leurs primes même lorsqu'ils jouent pour leur équipe nationale. Dans ce contexte, l'argument avancé est que les clubs devraient avoir plus de poids dans la prise de décision.
Cependant, les règles de la FIFA n'ont pas toujours été favorables aux nations africaines de football. L'annexe 1 stipule que les clubs sont tenus de libérer leurs joueurs convoqués par leur équipe nationale, mais seulement pendant les fenêtres internationales spécifiées.
La déclaration de Longoria pourrait-elle influencer certains clubs qui ont souvent été en conflit avec les sélections nationales ? Seul l'avenir nous le dira.
Dans cette optique, le président de l'Olympique de Marseille a souligné l'importance de cette compétition continentale et a encouragé les clubs à lui accorder le respect qu'elle mérite.
“Il faut penser que la CAN n’est pas le problème. La CAN, on doit la respecter. C’est surtout à nous, dirigeants du football français, de trouver une solution avec les championnats“, a-t-il déclaré, avant d’ajouter :
“Souhaiter qu’une équipe soit éliminée, c’est que chose qui me dérange. C’est vrai que tu es obligé de défendre tes intérêts, mais le respect de la compétition et de joueurs c’est que chose à avoir en considération“.
Il est essentiel de rappeler que cette année encore, les clubs européens ont exprimé leurs réserves quant à la libération des joueurs pour la CAN, craignant que ces derniers ne se blessent pendant le tournoi et ne puissent donc pas performer au mieux en championnat.
Ces clubs soulignent également que les joueurs libérés continuent de toucher leur salaire et leurs primes même lorsqu'ils jouent pour leur équipe nationale. Dans ce contexte, l'argument avancé est que les clubs devraient avoir plus de poids dans la prise de décision.
Cependant, les règles de la FIFA n'ont pas toujours été favorables aux nations africaines de football. L'annexe 1 stipule que les clubs sont tenus de libérer leurs joueurs convoqués par leur équipe nationale, mais seulement pendant les fenêtres internationales spécifiées.
La déclaration de Longoria pourrait-elle influencer certains clubs qui ont souvent été en conflit avec les sélections nationales ? Seul l'avenir nous le dira.