Le 22e et dernier GP de la saison sera donc décisif. L'enjeu: un premier titre mondial pour le Néerlandais de 24 ans, un huitième pour le Britannique de 36 ans, ce qui serait un record.
Le plus rapide de la finale à venir sera sacré, sauf... s'ils terminaient encore égalité de points (ce qui est peu probable mais possible). Dans ce cas, Verstappen serait titré au bénéfice de ses 9 victoires, contre 8 pour son rival.
La dernière fois que l'ultime GP a été décisif, c'était en 2016 et l'Allemand Nico Rosberg avait été sacré devant Hamilton, son équipier chez Mercedes.
La manche saoudienne (la première dans l'histoire de la F1), courue de nuit sur le circuit urbain de Jeddah, aurait pu tourner tout autrement: Verstappen pouvait être sacré s'il portait de 8 à 26 longueurs au moins son avance en tête du championnat.
Au contraire, une victoire assortie du point du meilleur tour pouvait permettre au Britannique de Mercedes d'égaliser au classement si Verstappen finissait deuxième.
Incroyable mais vrai, c'est ce deuxième scénario qui s'est produit, pour offrir un combat à suspense -- et à couteaux tirés -- jusqu'au bout.
Risque de sanction pour Verstappen :
Le Finlandais Valtteri Bottas (Mercedes) complète le podium d'un GP aux innombrables rebondissements (trois départs, deux drapeaux rouges et un nouvel accrochage entre Verstappen et Hamilton que les commissaires doivent étudier après la course, avec le risque d'une sanction pour le premier).
Bottas n'a terminé qu'avec un dixième d'avance sur le Français Esteban Ocon (Alpine), 4e.
L'Australien Daniel Ricciardo (McLaren) complète le Top 5, suivi par le Français Pierre Gasly (AlphaTauri), le Monégasque Charles Leclerc (Ferrari), l'Espagnol Carlos Sainz Jr (Ferrari), l'Italien Antonio Giovinazzi (Alfa Romeo) et le Britannique Lando Norris (McLaren), qui ferme le Top 10.
On déplore pas moins de cinq abandons (Sebastian Vettel, Sergio Pérez, George Russell, Mick Schumacher et Nikita Mazepin) suite à des sorties de piste et des accrochages.
Le GP d'Arabie saoudite fera son retour le 27 mars 2022. En accueillant désormais la F1, comme de plus en plus de grands événements sportifs et culturels, le Royaume poursuit sa campagne pour améliorer son image à l'international et diversifier son économie pétrolière.
Ses détracteurs l'accusent de "sportwashing", c'est-à-dire d'utiliser ces rendez-vous pour faire oublier ses manquements aux droits humains.
Hamilton ou encore Vettel ont profité de l'occasion pour exprimer leur soutien à la communauté LGBT+ en arborant des arc-en-ciel sur son casque pour le premier, sur ses chaussures pour le second.
Le plus rapide de la finale à venir sera sacré, sauf... s'ils terminaient encore égalité de points (ce qui est peu probable mais possible). Dans ce cas, Verstappen serait titré au bénéfice de ses 9 victoires, contre 8 pour son rival.
La dernière fois que l'ultime GP a été décisif, c'était en 2016 et l'Allemand Nico Rosberg avait été sacré devant Hamilton, son équipier chez Mercedes.
La manche saoudienne (la première dans l'histoire de la F1), courue de nuit sur le circuit urbain de Jeddah, aurait pu tourner tout autrement: Verstappen pouvait être sacré s'il portait de 8 à 26 longueurs au moins son avance en tête du championnat.
Au contraire, une victoire assortie du point du meilleur tour pouvait permettre au Britannique de Mercedes d'égaliser au classement si Verstappen finissait deuxième.
Incroyable mais vrai, c'est ce deuxième scénario qui s'est produit, pour offrir un combat à suspense -- et à couteaux tirés -- jusqu'au bout.
Risque de sanction pour Verstappen :
Le Finlandais Valtteri Bottas (Mercedes) complète le podium d'un GP aux innombrables rebondissements (trois départs, deux drapeaux rouges et un nouvel accrochage entre Verstappen et Hamilton que les commissaires doivent étudier après la course, avec le risque d'une sanction pour le premier).
Bottas n'a terminé qu'avec un dixième d'avance sur le Français Esteban Ocon (Alpine), 4e.
L'Australien Daniel Ricciardo (McLaren) complète le Top 5, suivi par le Français Pierre Gasly (AlphaTauri), le Monégasque Charles Leclerc (Ferrari), l'Espagnol Carlos Sainz Jr (Ferrari), l'Italien Antonio Giovinazzi (Alfa Romeo) et le Britannique Lando Norris (McLaren), qui ferme le Top 10.
On déplore pas moins de cinq abandons (Sebastian Vettel, Sergio Pérez, George Russell, Mick Schumacher et Nikita Mazepin) suite à des sorties de piste et des accrochages.
Le GP d'Arabie saoudite fera son retour le 27 mars 2022. En accueillant désormais la F1, comme de plus en plus de grands événements sportifs et culturels, le Royaume poursuit sa campagne pour améliorer son image à l'international et diversifier son économie pétrolière.
Ses détracteurs l'accusent de "sportwashing", c'est-à-dire d'utiliser ces rendez-vous pour faire oublier ses manquements aux droits humains.
Hamilton ou encore Vettel ont profité de l'occasion pour exprimer leur soutien à la communauté LGBT+ en arborant des arc-en-ciel sur son casque pour le premier, sur ses chaussures pour le second.