Le rapport annuel de Bank Al-Maghrib présenté par Abdellatif Jouahri à SM le Roi Mohammed VI offre une analyse perspicace et rigoureuse de la situation économique, monétaire et financière du Maroc. En insistant sur le fait que les subventions de l'État doivent être une exception, Jouahri met en avant une vision pragmatique visant à promouvoir une société plus autonome et résiliente. La critique de la « politique du chiffre » est un appel à une gestion plus responsable et efficace des ressources publiques, évitant ainsi une dépendance excessive aux aides sociales.
Le rapport souligne également l'importance de la justice sociale et de la réduction des inégalités, des éléments clés pour une transition réussie vers un État social. En appelant à une approche du dialogue social qui inclut l'amélioration des conditions de travail et la justice sociale, Bank Al-Maghrib propose une voie vers un développement plus inclusif et durable. Cette perspective est particulièrement pertinente dans un contexte mondial où les inégalités économiques sont de plus en plus pointées du doigt comme des obstacles au développement.
En outre, la relance de la réforme de la politique de soutien des produits de base, saluée par la Banque Centrale, démontre un engagement continu en faveur de l'efficacité et de l'équité. En alignant les politiques sociales sur des objectifs clairs tels que l'éducation de qualité, le travail décent et l'accès universel aux soins de santé, le Maroc se dote des outils nécessaires pour une croissance équilibrée et soutenable.
Le rapport souligne également l'importance de la justice sociale et de la réduction des inégalités, des éléments clés pour une transition réussie vers un État social. En appelant à une approche du dialogue social qui inclut l'amélioration des conditions de travail et la justice sociale, Bank Al-Maghrib propose une voie vers un développement plus inclusif et durable. Cette perspective est particulièrement pertinente dans un contexte mondial où les inégalités économiques sont de plus en plus pointées du doigt comme des obstacles au développement.
En outre, la relance de la réforme de la politique de soutien des produits de base, saluée par la Banque Centrale, démontre un engagement continu en faveur de l'efficacité et de l'équité. En alignant les politiques sociales sur des objectifs clairs tels que l'éducation de qualité, le travail décent et l'accès universel aux soins de santé, le Maroc se dote des outils nécessaires pour une croissance équilibrée et soutenable.
Ce rapport soulève des questions fondamentales sur l'efficacité des subventions de l'État au Maroc
Jouahri a clairement indiqué que l'accès à l'aide sociale devait rester une exception plutôt que la norme, mettant en lumière le défi posé par le nombre élevé de bénéficiaires. Cette affirmation soulève une question cruciale :
le Maroc ne risque-t-il pas de tomber dans une politique d'assistanat à long terme ?L
Le rapport met en garde contre une « politique du chiffre » qui pourrait priver les citoyens de l'incitation nécessaire pour participer activement à l'économie.
L'insistance sur une réforme plus équitable du dialogue social est louable, mais les critiques pourraient dire que cela reste insuffisant sans une révision profonde des politiques publiques.
Le rapport de la Banque Centrale souligne la nécessité d'une justice sociale et d'une réduction des inégalités, mais cela semble une tâche herculéenne dans le contexte actuel. Les politiques publiques doivent être recentrées sur les fondamentaux du développement, mais comment garantir que ces réformes ne restent pas lettres mortes face à des intérêts bien ancrés ?
Si la Banque Centrale salue la relance des réformes de soutien des produits de base, mais cela est-il réellement suffisant pour une transformation durable ?
La dépendance à l'égard des aides sociales pourrait perpétuer des cycles de pauvreté et de dépendance, alors que l'objectif devrait être de créer un environnement où chaque citoyen peut subvenir à ses besoins sans assistance.
le Maroc ne risque-t-il pas de tomber dans une politique d'assistanat à long terme ?L
Le rapport met en garde contre une « politique du chiffre » qui pourrait priver les citoyens de l'incitation nécessaire pour participer activement à l'économie.
L'insistance sur une réforme plus équitable du dialogue social est louable, mais les critiques pourraient dire que cela reste insuffisant sans une révision profonde des politiques publiques.
Le rapport de la Banque Centrale souligne la nécessité d'une justice sociale et d'une réduction des inégalités, mais cela semble une tâche herculéenne dans le contexte actuel. Les politiques publiques doivent être recentrées sur les fondamentaux du développement, mais comment garantir que ces réformes ne restent pas lettres mortes face à des intérêts bien ancrés ?
Si la Banque Centrale salue la relance des réformes de soutien des produits de base, mais cela est-il réellement suffisant pour une transformation durable ?
La dépendance à l'égard des aides sociales pourrait perpétuer des cycles de pauvreté et de dépendance, alors que l'objectif devrait être de créer un environnement où chaque citoyen peut subvenir à ses besoins sans assistance.
En somme, le rapport de Bank Al-Maghrib offre une feuille de route ambitieuse mais réalisable pour le Maroc, visant à renforcer les fondations de son développement économique tout en assurant une justice sociale et une réduction des inégalités. Cette approche, bien que complexe, est essentielle pour garantir une prospérité à long terme pour tous les citoyens.