Un message de menaces, dont le contenu n'a pas été révélé, a été lancé depuis une voiture aux premières heures de lundi par-dessus l'entrée du quartier fermé de Funes, à la périphérie de Rosario, où Di Maria possède une résidence, a indiqué à l'AFP un porte-parole du ministère public.
Le message était contenu dans un sac en nylon. La police procède «au relevé d'empreintes, d'images de caméras de surveillance et de témoignages», a ajouté le porte-parole.
Le contenu du message n'a pas été révélé «pour ne pas faire le jeu des organisations criminelles qui cherchent à susciter l'émotion publique», a indiqué une source du ministère de la Sécurité de la province de Santa Fe.
Selon des médias toutefois, elle porterait notamment la mention «Même Pullaro ne te sauvera pas», référence à Maximiliano Pullaro, gouverneur de la province depuis décembre, et qui a déclaré la guerre au narcotrafic local.
Rosario, à 300 km de Buenos Aires, est considérée comme la ville la plus dangereuse d'Argentine, avec un taux d'homicide de 22 pour 100.000 habitants, soit cinq fois supérieur au taux national.
Grand port fluvial d'export céréalier, Rosario est aussi un lieu de transit pour la drogue venue de pays voisins, qui a ruisselé depuis des années dans un narcotrafic local, fait de petites bandes, aux fusillades et extorsions fréquentes.
Une vague de violence début mars a vu quatre meurtres en cinq jours, deux chauffeurs de taxis, un de bus et un employé de station service. Les autorités analysent ces violences comme une «réaction» de chefs de gangs emprisonnés, prenant en otage la population locale, contre un récent durcissement de leurs conditions de détention, sous l'impulsion de M. Pullaro.
Lundi, le réseau de bus de Rosario était à l'arrêt, après une autre menace, visant un chauffeur de bus.
Une hypothèse des enquêteurs est que Di Maria, 36 ans, originaire de Rosario et qui évolue au Benfica (après notamment le Real Madrid et le PSG) est visé pour obtenir le maximum d'écho.
L'an dernier, c'est un commerce appartenant à la belle-famille de Lionel Messi, lui aussi de Rosario, qui avait été visé, criblé de balles dans la nuit, également à des fins de publicité, selon les autorités.
Le message était contenu dans un sac en nylon. La police procède «au relevé d'empreintes, d'images de caméras de surveillance et de témoignages», a ajouté le porte-parole.
Le contenu du message n'a pas été révélé «pour ne pas faire le jeu des organisations criminelles qui cherchent à susciter l'émotion publique», a indiqué une source du ministère de la Sécurité de la province de Santa Fe.
Selon des médias toutefois, elle porterait notamment la mention «Même Pullaro ne te sauvera pas», référence à Maximiliano Pullaro, gouverneur de la province depuis décembre, et qui a déclaré la guerre au narcotrafic local.
Rosario, à 300 km de Buenos Aires, est considérée comme la ville la plus dangereuse d'Argentine, avec un taux d'homicide de 22 pour 100.000 habitants, soit cinq fois supérieur au taux national.
Grand port fluvial d'export céréalier, Rosario est aussi un lieu de transit pour la drogue venue de pays voisins, qui a ruisselé depuis des années dans un narcotrafic local, fait de petites bandes, aux fusillades et extorsions fréquentes.
Une vague de violence début mars a vu quatre meurtres en cinq jours, deux chauffeurs de taxis, un de bus et un employé de station service. Les autorités analysent ces violences comme une «réaction» de chefs de gangs emprisonnés, prenant en otage la population locale, contre un récent durcissement de leurs conditions de détention, sous l'impulsion de M. Pullaro.
Lundi, le réseau de bus de Rosario était à l'arrêt, après une autre menace, visant un chauffeur de bus.
Une hypothèse des enquêteurs est que Di Maria, 36 ans, originaire de Rosario et qui évolue au Benfica (après notamment le Real Madrid et le PSG) est visé pour obtenir le maximum d'écho.
L'an dernier, c'est un commerce appartenant à la belle-famille de Lionel Messi, lui aussi de Rosario, qui avait été visé, criblé de balles dans la nuit, également à des fins de publicité, selon les autorités.