A lire ou à écouter en podcast : (568.59 Ko)
Tout est d’ordre politique.
En quoi la réussite d’un pays peut-elle gêner d’autres pays frères, voire, voisins ?
Chacun ses prérogatives, stratégies et modèles de développement, matières premières et priorités, créneaux privilégiés où ils se démarquent.
N’est-ce pas ce qui constitue la diversité, la mondialisation, l’identité… ?
Ce n’est pas le Maroc qui a poussé les multinationales asiatiques, européennes et américaines à virer de bord, à muter leurs locaux et à s’installer dans le Royaume ?
Ce n’est pas la faute au Maroc si, ses terres et mers « abritent » du gaz naturel et autres matières premières, qui attirent les investissements directs étrangers et d’autres compromis et accords. Qu’il s’agisse de pêches, de produits agricoles ou autres.
Le climat et le monde des affaires ont certes leurs exigences, à fortiori si, al hamdoullah, il y a la stabilité des « lieux ».
Il fût un temps où les marocains enviaient, mais pas aussi méchamment et lâchement, « les autres », autrement dit les pays étrangers.
Les enjeux, après toutes ces infrastructures, reste celui du développement des ressources humaines marocaines qui pâtissent de l’inflation qui sévit de nos jours et de la pénurie, non pas des denrées alimentaires largement disponibles sur les marchés marocains, mais des salaires qui sont au plus bas ainsi que la promotion du travail. C’est cette dernière opportunité qui pousse nos étudiants à trouver mieux ailleurs. Si comme dit la chanson : Ici, l’herbe est plus verte, le soleil est plus chaud, mais ailleurs, l’argent coule à flot.
Avec tous ces investissements au niveau national, ce qui est espéré, c’est un regard socio-économique plus avantageux envers cette jeunesse, pour qu’elle puisse se retrouver dans son propre pays, y vivre dignement, avec un salaire mérité.
En quoi la réussite d’un pays peut-elle gêner d’autres pays frères, voire, voisins ?
Chacun ses prérogatives, stratégies et modèles de développement, matières premières et priorités, créneaux privilégiés où ils se démarquent.
N’est-ce pas ce qui constitue la diversité, la mondialisation, l’identité… ?
Ce n’est pas le Maroc qui a poussé les multinationales asiatiques, européennes et américaines à virer de bord, à muter leurs locaux et à s’installer dans le Royaume ?
Ce n’est pas la faute au Maroc si, ses terres et mers « abritent » du gaz naturel et autres matières premières, qui attirent les investissements directs étrangers et d’autres compromis et accords. Qu’il s’agisse de pêches, de produits agricoles ou autres.
Le climat et le monde des affaires ont certes leurs exigences, à fortiori si, al hamdoullah, il y a la stabilité des « lieux ».
Il fût un temps où les marocains enviaient, mais pas aussi méchamment et lâchement, « les autres », autrement dit les pays étrangers.
Les enjeux, après toutes ces infrastructures, reste celui du développement des ressources humaines marocaines qui pâtissent de l’inflation qui sévit de nos jours et de la pénurie, non pas des denrées alimentaires largement disponibles sur les marchés marocains, mais des salaires qui sont au plus bas ainsi que la promotion du travail. C’est cette dernière opportunité qui pousse nos étudiants à trouver mieux ailleurs. Si comme dit la chanson : Ici, l’herbe est plus verte, le soleil est plus chaud, mais ailleurs, l’argent coule à flot.
Avec tous ces investissements au niveau national, ce qui est espéré, c’est un regard socio-économique plus avantageux envers cette jeunesse, pour qu’elle puisse se retrouver dans son propre pays, y vivre dignement, avec un salaire mérité.