Justice ou censure ?
L'interdiction fait suite à une onde de choc provoquée par le meurtre tragique de deux jeunes femmes à Istanbul, dont le suspect, âgé de 19 ans, a été loué par certains utilisateurs sur Discord. Ce drame a mis en lumière non seulement la violence à l'égard des femmes, mais aussi l'utilisation problématique des réseaux sociaux pour glorifier des actes criminels.
Le ministre turc de la Justice, Yılmaz Tunç, a justifié cette décision en évoquant des "soupçons suffisants de crimes d'abus sexuels sur enfants et d'obscénités" sur la plateforme. Cette déclaration souligne la volonté des autorités de protéger les citoyens, en particulier les plus vulnérables, face à des contenus jugés inacceptables.
Cette interdiction s'inscrit dans un contexte plus large de régulation des plateformes numériques en Turquie, où le gouvernement cherche à contrôler la diffusion d'informations et à lutter contre les discours incitant à la violence. Alors que certains saluent cette initiative comme une mesure de protection, d'autres craignent qu'elle ne porte atteinte à la liberté d'expression et à l'accès à l'information.
Le ministre turc de la Justice, Yılmaz Tunç, a justifié cette décision en évoquant des "soupçons suffisants de crimes d'abus sexuels sur enfants et d'obscénités" sur la plateforme. Cette déclaration souligne la volonté des autorités de protéger les citoyens, en particulier les plus vulnérables, face à des contenus jugés inacceptables.
Cette interdiction s'inscrit dans un contexte plus large de régulation des plateformes numériques en Turquie, où le gouvernement cherche à contrôler la diffusion d'informations et à lutter contre les discours incitant à la violence. Alors que certains saluent cette initiative comme une mesure de protection, d'autres craignent qu'elle ne porte atteinte à la liberté d'expression et à l'accès à l'information.