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Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres assure : « Il n’y a pas de temps à perdre ni d’excuses à trouver ».

Les dérèglements climatiques touchent maintenant l’ensemble des pays du monde : très fortes élévations des températures, inondations, sécheresses… se multiplient et se manifestent de façon de plus en plus intense. Ces phénomènes provoquent des glissements de terrain, des incendies, des maladies et des famines dans plusieurs régions.
 

Le GIEC souhaite surtout alerter une nouvelle fois les Etats pour qu’ils interviennent afin de limiter les émissions de gaz à effet de serre et ainsi limiter le réchauffement à 2°C, et même à 1,5°C, par rapport à l’ère préindustrielle.

Il s’agit notamment de réduire la combustion des énergies fossiles que nous utilisons pour la production d’électricité, les transports, l’industrie ou l’agriculture.
 

Les 234 scientifiques estiment maintenant que le seuil de +1,5° sera atteint avant 2040.

En plus des réductions fortes de CO2, agir rapidement et durablement sur les émissions de méthane, qui a une durée de vie beaucoup plus courte que le CO2, serait efficace pour le climat à court terme mais également pour la pollution de l’air ».
 

Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres assure : « Il n’y a pas de temps à perdre ni d’excuses à trouver ».

Selon le quotidien Al Akhbar : La secrétaire générale du Parti socialiste unifié (PSU) ne respecte pas les lois du pays et entrave l’élan national de la lutte contre la Covid-19.

Au début de la pandémie, elle a propagé des idées complotistes contre la Covid-19 et elle a refusé également de se faire vacciner.

Pour couronner son irresponsabilité, Nabila Mounib se permet de se déplacer partout au Maroc à des fins électoralistes sans disposer ni d’autorisation de déplacement ni de pass sanitaire et pourtant sans qu’elle ne soit interpellée par les autorités.

Selon The Independant en se basant sur des sources sûres, selon lesquelles le gouvernement espagnol est très en colère contre l’Algérie qui ne contrôle plus ses frontières, induisant une vague d’immigration importante d’Algériens vers les côtes espagnoles.

L’Espagne a menacé l’Algérie d’imposer des sanctions au cas où le régime ne fasse pas le nécessaire pour fermer le robinet de l’immigration clandestine.