L'ODJ Média

Depuis ce 1er juillet, les prix à la pompe ont connu une légère hausse, tant pour le gasoil que pour l’essence.
Le prix du gasoil a grimpé de 16 centimes, alors que celui de l’essence a augmenté de 33 centimes.
Cette hausse s’explique par la recrudescence des tensions au Moyen-Orient. Elle pourrait d’ailleurs se poursuivre dans les jours qui viennent.

En consécration de l'excellence de la coopération maroco-française dans les différents domaines sécuritaires, le Directeur Général de la Sûreté nationale (DGSN) et de la Surveillance du territoire (DGST), Abdellatif Hammouchi, a été décoré à titre exceptionnel de la Médaille d'honneur d'or de la Police nationale française. Cette décoration vient "en reconnaissance de ses efforts en faveur de la consolidation et du développement de la coopération sécuritaire commune".

Un temps chaud est prévu, de samedi à lundi, dans plusieurs provinces marocaines avec des températures oscillant de 37 à 42°C. Cette vague de chaleur concernera les provinces de Béni Mellal, Fquih Ben Salah, Khénifra, Settat, Rehamna, Youssoufia, Chichaoua, El Kelaâ des Sraghna, Marrakech, Moulay Yaâcoub, Fès, Meknès, Taounate, Sidi Slimane, Khemisset, Sidi Kacem, Errachidia, Zagoura, Tinghir, Tata et Aousserd.

La rivalité entre les agriculteurs français et marocains autour de la production de tomates connaît une nouvelle intensification.

Malgré la fin des manifestations européennes de décembre dernier, des campagnes médiatiques continues alimentent la tension.

Les producteurs français accusent leurs homologues marocains de pratiques déloyales et de dumping, ce qui accentue la pression sur les gouvernements des deux pays. Le Maroc, principal exportateur de tomates vers l'Europe, est critiqué pour ses coûts de production inférieurs, ce qui permet à ses tomates de dominer les marchés européens.

Cette situation soulève des questions sur les politiques agricoles et commerciales des deux nations. Les agriculteurs français demandent des mesures de protection pour maintenir leur compétitivité, tandis que le Maroc défend son droit à accéder aux marchés internationaux sans entraves.

Le tribunal de première instance de Tétouan vient de condamner une influenceuse, très connue sur les réseaux sociaux poursuivie pour diffamation à l’encontre des femmes, à six ans de prison avec sursis et une amende de 5.000 dirhams.

C’est d’ailleurs une association locale qui a fait éclater cette affaire après avoir porté plainte contre cette influenceuse. L’association a dénoncé des propos sur les femmes mariées qui, selon l’influenceuse, se retrouveraient parfois contraintes de se déplacer à Tanger pour se prostituer ou simplement accéder à des boites de nuit.