Dans la compétition toujours plus digitale que se livrent entre eux les acteurs de la finance, l’optimisation des revenus et des règles de tarification revêtent une importance croissante. C’est en effet par l’adaptation fine des propositions tarifaires à leurs clientèles de particuliers ou d’entreprises que les banques font la différence : non seulement en termes d’image, mais aussi en améliorant leurs bénéfices sur leurs produits les plus performants.

Cependant la complexité des "modèles de tarification" et des "Catalogues Produits" des services bancaires ne cesse d'augmenter. Cette tendance est justifiée par une volonté des banques de se différencier, de satisfaire la clientèle, de s'adapter et contextualiser la politique de la banque aux différents évènements qui concernent la communauté servis.

Pour prétendre à cette agilité dans l’établissement de leurs politiques tarifaires, les gestionnaires de revenus et les responsables de la tarification ont besoin de manipuler de grandes quantités de données sur la concurrence et sur leur clientèle. D’où la nécessité d’adopter des modèles de tarification dynamique, gouvernée par des critères d'éligibilité de plus en plus granulaires reflétant une segmentation quasi temps réelle. Des modèles de tarification, ensemble avec des critères d'éligibilités bien définis, permettent aux banques d'automatiser plusieurs "cas d'utilisation" dont la finalité est d'augmenter les revenus (PNB), satisfaire et fidéliser la clientèle, et minimiser les erreurs ainsi que le manque à gagner lors des traitements de la tarification.

-Quelles sont les grandes tendances concernant la personnalisation des offres bancaires (Produits & Prix) les banques africaines doivent-elles faire face ?
-Comment mener des campagnes promotionnelles personnalisées et complexes ?
-Est-il possible de définir des critères d'éligibilité statiques et dynamiques pour ces compagnes promotionnelles?


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