Depuis sa déconvenue à San Pedro, Walid Regragui est sous les projecteurs de l'opinion publique, qui espérait voir l'équipe nationale briller au sommet du football africain.
Malgré les espoirs suscités, la succession de déceptions lors des CAN précédentes a rendu le poste de sélectionneur instable, comme en témoignent les nombreux changements d'entraîneurs.
Regragui, bien qu'ayant échappé aux limogeages précédents, voit aujourd'hui son crédit diminuer après le Mondial qatari.
Les matchs amicaux contre l'Angola et la Mauritanie étaient censés redynamiser l'équipe, notamment avec les recrues de talent comme Diaz et Ben Seghir.
Malgré ces renforts, Regragui doit revoir sa stratégie de jeu pour tirer le meilleur parti de ces joueurs et renforcer l'attaque marocaine, qui a montré ses limites récemment en Côte d'Ivoire.
L'arrivée de nouveaux talents a suscité des attentes élevées, mais le football reste un sport d'équipe où la cohésion et les rôles définis sont essentiels.
Malheureusement, lors des matchs récents, la coordination entre les joueurs clés comme Diaz et Ziyech semblait manquer, laissant l'équipe avec une animation prévisible et peu efficace.
Sur le plan tactique, Regragui a expérimenté différents schémas, mais sans succès. La circulation de balle lente et prévisible n'a pas su déstabiliser les défenses adverses compactes, et les coups de pied arrêtés n'ont pas été exploités malgré les opportunités.
En outre, la communication de Regragui devant les médias semble moins convaincante, et ses discours axés sur le passé ont perdu de leur impact. Il pourrait gagner à adopter une approche plus pragmatique et axée sur la stratégie de jeu, surtout dans la perspective de la CAN 2025 que le Maroc accueillera.
Avec les éliminatoires du Mondial 2026 à l'horizon, Regragui a deux mois pour rectifier le tir. L'enjeu est de taille, car un échec pourrait compromettre son avenir à la tête de l'équipe nationale, soumise au jugement parfois impitoyable de ses supporters.
Malgré les espoirs suscités, la succession de déceptions lors des CAN précédentes a rendu le poste de sélectionneur instable, comme en témoignent les nombreux changements d'entraîneurs.
Regragui, bien qu'ayant échappé aux limogeages précédents, voit aujourd'hui son crédit diminuer après le Mondial qatari.
Les matchs amicaux contre l'Angola et la Mauritanie étaient censés redynamiser l'équipe, notamment avec les recrues de talent comme Diaz et Ben Seghir.
Malgré ces renforts, Regragui doit revoir sa stratégie de jeu pour tirer le meilleur parti de ces joueurs et renforcer l'attaque marocaine, qui a montré ses limites récemment en Côte d'Ivoire.
L'arrivée de nouveaux talents a suscité des attentes élevées, mais le football reste un sport d'équipe où la cohésion et les rôles définis sont essentiels.
Malheureusement, lors des matchs récents, la coordination entre les joueurs clés comme Diaz et Ziyech semblait manquer, laissant l'équipe avec une animation prévisible et peu efficace.
Sur le plan tactique, Regragui a expérimenté différents schémas, mais sans succès. La circulation de balle lente et prévisible n'a pas su déstabiliser les défenses adverses compactes, et les coups de pied arrêtés n'ont pas été exploités malgré les opportunités.
En outre, la communication de Regragui devant les médias semble moins convaincante, et ses discours axés sur le passé ont perdu de leur impact. Il pourrait gagner à adopter une approche plus pragmatique et axée sur la stratégie de jeu, surtout dans la perspective de la CAN 2025 que le Maroc accueillera.
Avec les éliminatoires du Mondial 2026 à l'horizon, Regragui a deux mois pour rectifier le tir. L'enjeu est de taille, car un échec pourrait compromettre son avenir à la tête de l'équipe nationale, soumise au jugement parfois impitoyable de ses supporters.