BYD, qui s'est imposé comme un leader dans l'industrie des véhicules électriques en Chine, avait des ambitions d'expansion mondiale, avec des projets pour de nouvelles usines en Europe et en Amérique du Sud. Cependant, cette nouvelle crise pourrait compromettre ses efforts. Les autorités ont révélé que les conditions de vie des ouvriers étaient particulièrement préoccupantes : une seule salle de bain pour 31 personnes, des réveils à 4h du matin pour faire la queue pour une douche, et l'absence de matelas pour dormir. De plus, les travailleurs qui choisissaient de quitter leur emploi après six mois devaient quitter le pays sans aucune rémunération.
Face à ces accusations, BYD a réagi en rompant ses liens avec l'entreprise Jinjiang, qui était responsable de l'embauche des travailleurs. La société a promis de collaborer avec les autorités brésiliennes pour aider les victimes et améliorer les conditions de travail. Cependant, cette interruption de chantier pourrait entraîner des retards significatifs dans l'ouverture de la nouvelle usine, initialement prévue pour l'année prochaine, laissant planer des doutes sur l'engagement de BYD envers le respect des droits humains.
Face à ces accusations, BYD a réagi en rompant ses liens avec l'entreprise Jinjiang, qui était responsable de l'embauche des travailleurs. La société a promis de collaborer avec les autorités brésiliennes pour aider les victimes et améliorer les conditions de travail. Cependant, cette interruption de chantier pourrait entraîner des retards significatifs dans l'ouverture de la nouvelle usine, initialement prévue pour l'année prochaine, laissant planer des doutes sur l'engagement de BYD envers le respect des droits humains.