Conseiller de Trump, fossoyeur de Tesla ?
Depuis son rapprochement avec Donald Trump, dont il est désormais un conseiller influent chargé de réduire les dépenses fédérales, Elon Musk a suscité une vague d’indignation. Aux États-Unis comme à l’international, Tesla est la cible de vandalisme, de manifestations et d’appels au boycott. Les critiques envers Musk ne se limitent pas à ses positions politiques ; elles touchent également à la stagnation de la gamme Tesla. Le dernier modèle grand public, le Model Y, date de 2020, et le Cybertruck, lancé en 2023, n’a pas répondu aux attentes du marché, avec seulement 46 000 unités sur les routes.
La situation est aggravée par une baisse marquée des immatriculations en Europe de l’Ouest, où les ventes ont chuté de 36,8 % en France et de 63,9 % en Suède. En Chine, Tesla fait face à une concurrence féroce de BYD, qui affiche une croissance insolente avec 1,76 million de véhicules vendus en 2024. Par ailleurs, des problèmes de production, notamment un incendie volontaire à l’usine de Berlin, ont contribué à réduire les volumes de fabrication.
Ces défis soulignent la nécessité pour Tesla de redéfinir sa stratégie, tant sur le plan commercial que politique, afin de regagner la confiance des consommateurs et de maintenir sa position de leader dans un marché de plus en plus compétitif.
La situation est aggravée par une baisse marquée des immatriculations en Europe de l’Ouest, où les ventes ont chuté de 36,8 % en France et de 63,9 % en Suède. En Chine, Tesla fait face à une concurrence féroce de BYD, qui affiche une croissance insolente avec 1,76 million de véhicules vendus en 2024. Par ailleurs, des problèmes de production, notamment un incendie volontaire à l’usine de Berlin, ont contribué à réduire les volumes de fabrication.
Ces défis soulignent la nécessité pour Tesla de redéfinir sa stratégie, tant sur le plan commercial que politique, afin de regagner la confiance des consommateurs et de maintenir sa position de leader dans un marché de plus en plus compétitif.