Le rapport, basé sur les statistiques de 135 pays à travers le monde, constitue le baromètre, autrement dit, l’indicateur de l’état de l’industrie mondiale de la finance islamique. Les résultats sont induits des scores des différents pays, entre autres, en matière de connaissances, de gouvernance, de responsabilité sociale des entreprises...
Les principaux acteurs du secteur de la finance islamique sont les pays du Conseil de Coopération du Golfe (l'Arabie saoudite, les Émirats Arabes Unis, le Koweït, le Qatar, le Bahreïn et le sultanat d'Oman),en plus de la Malaisie, de l’Indonésie, de l’Iran…, constituant ainsi 80% du secteur au niveau mondial.
L’industrie de la Finance Islamique, définie comme l’ensemble des transactions et produits financiers conformes aux principes de la loi coranique, avec toutes les interdictions non éligibles tels que les intérêts, la spéculation ou l’investissement illicites (alcool, jeux, etc.), atteindrait, selon l’Indicateur de développement de la Finance Islamique (IFDI), 4,94 billions de dollars en 2025.
Aussi, les Sukuks, deuxième secteur de la FI, ont augmenté de 16% en 2020, selon le Conseil de coopération du Golfe (CCG) et de l’Asie du Sud-Est.
Dans le classement des pays qui ont fait de grands progrès, une place privilégiée est décernée à l’Arabie Saoudite dont l’actif a atteint 18% en 2020. Le pays mise sur le développement du secteur dans le cadre de la Vision économique saoudienne 2030. A fortiori puisque cette industrie soutient la croissance et conforte la durabilité du secteur privé aussi bien en interne, soit en Arabie saoudite , qu’au niveau des marchés mondiaux.
Pour sa part, l’Indonésie, a réussi à garder sa deuxième place à l’IFDI 2021. Cela est dû, en quelque sorte, aux scores élevés dans la plupart des indicateurs qualifiants tels que l’éducation, la recherche, la sensibilisation et le soutien gouvernemental. Pour ce pays asiatique, développer l’industrie financière islamique vise à renforcer la résilience économique nationale.
Aussi, en Malaisie, l’un des principaux moteurs du développement de la finance islamique est l’adoption de l’intermédiation basée sur la valeur (VBI) par les banques islamiques Malaisiennes depuis 2017 et plus récemment par les opérateurs Takaful.
Selon, M. Mustafa Adil, responsable de la finance islamique chez Refinitiv, l’industrie de la finance islamique continue d’attirer de nouveaux acteurs et de faire évoluer ses produits et services pour devenir un participant plus actif dans la marche mondiale, visant la réalisation des objectifs climatiques. Les principales juridictions de la finance islamique se concentrent sur les politiques de durabilité et d’environnement, sociales et de gouvernance.
Au Maroc, bien que les atouts de la finance islamique soient assez importants pour booster le secteur depuis son introduction en 2007 par Bank Al Maghrib, son positionnement, en matière de drainage de financements islamiques est encore à la traine.
Les principaux acteurs du secteur de la finance islamique sont les pays du Conseil de Coopération du Golfe (l'Arabie saoudite, les Émirats Arabes Unis, le Koweït, le Qatar, le Bahreïn et le sultanat d'Oman),en plus de la Malaisie, de l’Indonésie, de l’Iran…, constituant ainsi 80% du secteur au niveau mondial.
L’industrie de la Finance Islamique, définie comme l’ensemble des transactions et produits financiers conformes aux principes de la loi coranique, avec toutes les interdictions non éligibles tels que les intérêts, la spéculation ou l’investissement illicites (alcool, jeux, etc.), atteindrait, selon l’Indicateur de développement de la Finance Islamique (IFDI), 4,94 billions de dollars en 2025.
Aussi, les Sukuks, deuxième secteur de la FI, ont augmenté de 16% en 2020, selon le Conseil de coopération du Golfe (CCG) et de l’Asie du Sud-Est.
Dans le classement des pays qui ont fait de grands progrès, une place privilégiée est décernée à l’Arabie Saoudite dont l’actif a atteint 18% en 2020. Le pays mise sur le développement du secteur dans le cadre de la Vision économique saoudienne 2030. A fortiori puisque cette industrie soutient la croissance et conforte la durabilité du secteur privé aussi bien en interne, soit en Arabie saoudite , qu’au niveau des marchés mondiaux.
Pour sa part, l’Indonésie, a réussi à garder sa deuxième place à l’IFDI 2021. Cela est dû, en quelque sorte, aux scores élevés dans la plupart des indicateurs qualifiants tels que l’éducation, la recherche, la sensibilisation et le soutien gouvernemental. Pour ce pays asiatique, développer l’industrie financière islamique vise à renforcer la résilience économique nationale.
Aussi, en Malaisie, l’un des principaux moteurs du développement de la finance islamique est l’adoption de l’intermédiation basée sur la valeur (VBI) par les banques islamiques Malaisiennes depuis 2017 et plus récemment par les opérateurs Takaful.
Selon, M. Mustafa Adil, responsable de la finance islamique chez Refinitiv, l’industrie de la finance islamique continue d’attirer de nouveaux acteurs et de faire évoluer ses produits et services pour devenir un participant plus actif dans la marche mondiale, visant la réalisation des objectifs climatiques. Les principales juridictions de la finance islamique se concentrent sur les politiques de durabilité et d’environnement, sociales et de gouvernance.
Au Maroc, bien que les atouts de la finance islamique soient assez importants pour booster le secteur depuis son introduction en 2007 par Bank Al Maghrib, son positionnement, en matière de drainage de financements islamiques est encore à la traine.