Quand l’Union européenne s’acharne sur le Maroc.mp3 (5.82 Mo)
L’Union Européenne n’existe pas…
Le double jeu de la « désunion européenne » se fait ressentir... et si nous prêtions le flanc aux cyniques, convaincus de la non-existence d’une union ?
De ceux qui se fient à la seule géographie sans plus, pour qui les racines judéo-chrétiennes, agrégées autour d’une civilisation gréco-romaine, seraient sine qua none, sans pour autant faire chorus sur la destinée de la vielle Europe...
De ceux, au flair sceptique, sur les gardes...d’une mégarde, qui ne souffrent en rien de ce baratin démocratico-mielleux qui prêche l’horizontalité des décisions...
Non, l’Europe est le vivier des rapports de force. De ceux, qui vous griffonne un draft où se profilent de ces pays d’Europe à la traîne des meneurs...de danse
Ceux-là qui font la pluie et le beau temps à Bruxelles... ce bas-pays qui est le leur... à l’exemple de l’Allemagne, ou, loin derrière La France.
Une Europe féodale qui s’empêtre dans les filets de résolutions gros comme « 27 » pour sauver la façade démocratique ? ou plutôt « une » : la vieille Allemagne.
Une désunion illustrée à l’épreuve du Covid, Où c’est chacun pour soi…qu’est-ce que tous ?
Petit exercice à la fois loufoque et pratique: imaginez-vous une Europe sans Allemagne ? Et si nous relevions les retombées de cette politique élitiste sur ce Maroc où nous avons pied, si tant est qu’on puisse y voir une intrusion allemande...
Une Europe, deux faces…
Un Maroc pris à partie par un « deux poids deux mesures » européen, qui, par le truchement du représentant de l’union, et de son chef de conseil, fait valoir sa partialité, ses énoncés fielleux, sa quasi-absence de tact.
L’union, au lieu de servir de Madame bons offices, de pont pacifique, de rabibocher de ces véhémences entre le Maroc et l’Espagne, suite à ce que vous savez… se réserve le « biais » de se dresser et l’Espagne contre le Maroc.
Une position tronquée, suite à la vague migrante déferlée sur l’enclave de Sebta.
L’UE, sortie de sa torpeur, brandit l’étendard de la sauvegarde des frontières, car il en irait de ses intérêts...
Pour rappel, l’Espagne a bel et bien puisé dans les fonds européens pour sécuriser l’enclave précitée. une duplicité qui vient à point nommé, et qui en dit long de sa « foi »…
Où était cette vieille Europe alors que l’Espagne accueillit sur son sol un terroriste-tortionnaire sous mandat de recherche ?
Cette coordination sécuritaire, aux yeux de l’Europe, ne serait-elle point foulée au pied ? Cette complicité mise-à-nue par nos renseignements, où un faux passeport ne dérangea point la moralité des autorités espagnoles, ne compte pas aux yeux des alliés?
Comment rassurer cette vieille Europe que l’Espagne ne s’acoquinerait point avec l’un de ses réchappés ? D’autant plus que la raison sécuritaire est érigée en mère des priorités...que la France, à l’approche des élections en fait son fer de lance.
Quelle lecture faire de ce mutisme européen face à ces procédés de « voyous » ? Un mutisme exacerbé par une ruée sans ménagement à l’encontre du Maroc.
Le double jeu de la « désunion européenne » se fait ressentir... et si nous prêtions le flanc aux cyniques, convaincus de la non-existence d’une union ?
De ceux qui se fient à la seule géographie sans plus, pour qui les racines judéo-chrétiennes, agrégées autour d’une civilisation gréco-romaine, seraient sine qua none, sans pour autant faire chorus sur la destinée de la vielle Europe...
De ceux, au flair sceptique, sur les gardes...d’une mégarde, qui ne souffrent en rien de ce baratin démocratico-mielleux qui prêche l’horizontalité des décisions...
Non, l’Europe est le vivier des rapports de force. De ceux, qui vous griffonne un draft où se profilent de ces pays d’Europe à la traîne des meneurs...de danse
Ceux-là qui font la pluie et le beau temps à Bruxelles... ce bas-pays qui est le leur... à l’exemple de l’Allemagne, ou, loin derrière La France.
Une Europe féodale qui s’empêtre dans les filets de résolutions gros comme « 27 » pour sauver la façade démocratique ? ou plutôt « une » : la vieille Allemagne.
Une désunion illustrée à l’épreuve du Covid, Où c’est chacun pour soi…qu’est-ce que tous ?
Petit exercice à la fois loufoque et pratique: imaginez-vous une Europe sans Allemagne ? Et si nous relevions les retombées de cette politique élitiste sur ce Maroc où nous avons pied, si tant est qu’on puisse y voir une intrusion allemande...
Une Europe, deux faces…
Un Maroc pris à partie par un « deux poids deux mesures » européen, qui, par le truchement du représentant de l’union, et de son chef de conseil, fait valoir sa partialité, ses énoncés fielleux, sa quasi-absence de tact.
L’union, au lieu de servir de Madame bons offices, de pont pacifique, de rabibocher de ces véhémences entre le Maroc et l’Espagne, suite à ce que vous savez… se réserve le « biais » de se dresser et l’Espagne contre le Maroc.
Une position tronquée, suite à la vague migrante déferlée sur l’enclave de Sebta.
L’UE, sortie de sa torpeur, brandit l’étendard de la sauvegarde des frontières, car il en irait de ses intérêts...
Pour rappel, l’Espagne a bel et bien puisé dans les fonds européens pour sécuriser l’enclave précitée. une duplicité qui vient à point nommé, et qui en dit long de sa « foi »…
Où était cette vieille Europe alors que l’Espagne accueillit sur son sol un terroriste-tortionnaire sous mandat de recherche ?
Cette coordination sécuritaire, aux yeux de l’Europe, ne serait-elle point foulée au pied ? Cette complicité mise-à-nue par nos renseignements, où un faux passeport ne dérangea point la moralité des autorités espagnoles, ne compte pas aux yeux des alliés?
Comment rassurer cette vieille Europe que l’Espagne ne s’acoquinerait point avec l’un de ses réchappés ? D’autant plus que la raison sécuritaire est érigée en mère des priorités...que la France, à l’approche des élections en fait son fer de lance.
Quelle lecture faire de ce mutisme européen face à ces procédés de « voyous » ? Un mutisme exacerbé par une ruée sans ménagement à l’encontre du Maroc.
Que nous veut l’Allemagne ?
Une Europe, qui se méprend, qui ne se pique que quand le Maroc dévie de son rôle de garde-frontières. Une Europe, non gênée des tergiversations espagnoles, qui se refuse d’adresser le fond de l’affaire.
Mais comme écrit plus haut, qui dit Europe dit Allemagne, et nous ne savons que trop la position que l’Allemagne entretient au sujet du dossier Saharien.
Une Allemagne qui, certes, règne en maitresse dans « son » continent, mais que l’oncle Sam a su rappeler à sa force…relative.
D’abord, de par le Sahara, puis à travers ce Gazoduc Russe, qui déplait fort, et qui s’apprête à rogner sa portée économique...en direction des États-(plus)-UNis
Si l’Allemagne n’eut pas le toupet, à l’exemple du « voisin », de « dérouler » son lit d’hôpital au dissident-faussaire sur son sol, à l’exemple du président algérien, sa position eu égard du Sahara lui valut rupture de notre coordination en matière de renseignements…et rappel de notre ambassadeur
Que nous veut l’Allemagne ? Le gaz algérien trouble-t-il tant nos rapports ?
Si l’Allemagne souffle le chaud et le froid, clin d’œil à son ministre de développement qui reconnait que le problème aux frontières n’est pas que de nature pécuniaire…force est de constater que le chaud prévaut sur le froid.
Et cette hypocrisie européenne qui relègue le dossier du Sahara aux compétences de l’ONU serait-elle amnésique jusqu’oublier faire partie prenante de ces « compétences » ?
Hicham Aboumerrouane
Une Europe, qui se méprend, qui ne se pique que quand le Maroc dévie de son rôle de garde-frontières. Une Europe, non gênée des tergiversations espagnoles, qui se refuse d’adresser le fond de l’affaire.
Mais comme écrit plus haut, qui dit Europe dit Allemagne, et nous ne savons que trop la position que l’Allemagne entretient au sujet du dossier Saharien.
Une Allemagne qui, certes, règne en maitresse dans « son » continent, mais que l’oncle Sam a su rappeler à sa force…relative.
D’abord, de par le Sahara, puis à travers ce Gazoduc Russe, qui déplait fort, et qui s’apprête à rogner sa portée économique...en direction des États-(plus)-UNis
Si l’Allemagne n’eut pas le toupet, à l’exemple du « voisin », de « dérouler » son lit d’hôpital au dissident-faussaire sur son sol, à l’exemple du président algérien, sa position eu égard du Sahara lui valut rupture de notre coordination en matière de renseignements…et rappel de notre ambassadeur
Que nous veut l’Allemagne ? Le gaz algérien trouble-t-il tant nos rapports ?
Si l’Allemagne souffle le chaud et le froid, clin d’œil à son ministre de développement qui reconnait que le problème aux frontières n’est pas que de nature pécuniaire…force est de constater que le chaud prévaut sur le froid.
Et cette hypocrisie européenne qui relègue le dossier du Sahara aux compétences de l’ONU serait-elle amnésique jusqu’oublier faire partie prenante de ces « compétences » ?
Hicham Aboumerrouane