En effet, notre régime fiscal est plus avantageux pour les Français que celui de leur pays, car, au bout de 183 jours, le résident obtient une réduction. « Tous les revenus bénéficient d’un abattement de 40 % et si la pension est perçue sur un compte marocain en dirhams, l’abattement s’élève à 80 %. Ce qui fait que le taux d’imposition final avoisine les 4 % ».
Que faut-il de plus pour vivre décemment ?
D’ailleurs, on a toujours observé devant les hôtels des bus plein de personnes du 3e âge de pays européens, venus passer des vacances dans notre pays. Leur retraite leur permet de voyager et de sillonner le monde d’autant plus qu’ils trouvent des offres avantageuses au Maroc.
Selon les dernières statistiques, le nombre de Français résidants au Maroc est en hausse. En 2020, Ils sont 53 800 inscrits sur les registres consulaires. Le nombre de ressortissants français établis au Maroc est passé à 80 000. La communauté française regroupe entre volontaires internationaux, salariés, entrepreneurs, retraités…, et sont installés, pour la plupart, à Casablanca, Rabat et Marrakech.
Selon le site « Français à l’étranger.fr », le pensionné Français vit très bien au Maroc. La vie au pays d’accueil coûte 40% moins cher aux retraités français, et ils peuvent même économiser. D’autant plus que c’est de l’argent gagné en devises qui est dépensé en dirhams. En plus, l’hiver est doux, le soleil est toujours au rendez-vous, nos fruits et légumes sont bios, la vie est plus calme et moins stressante. Ils peuvent faire des randonnées, consommer bio, avoir une vie saine...
Tout ce cadre de vie accueillant permet à 30 000 retraités français, de venir chaque année en camping-car se dorer au soleil marocain, sachant qu’ils peuvent y séjourner jusqu’à 90 jours sans visa, puis avoir, à terme, une carte d’immatriculation.
S’il est devenu plus facile pour les étudiants marocains en France, en tout cas les hauts cadres, d’avoir leur nationalité après quelques années de travail, les retraités français aussi peuvent obtenir la carte de résidence, valable 10 ans, après 3 ans de résidence.
Et si les retraités français se retrouvent chez nous, les Marocains, nos résidents en France, ne pensent qu’à revenir au bercail après leur si long séjour en France, vu la cherté de la vie et les retrouvailles en famille. Ce qui leur manque, ce sont par excellence, les services de santé français, à cet âge où les os ne sont plus aussi endurcis…
Qu’en est-il de nos retraités marocains ? Que fait notre pays pour eux ? Se la coulent-ils douce eux aussi ? Les régimes de retraite sont-ils assez satisfaisants ? C’est la question à poser.
L’Etat se permet de tirer, depuis belle lurette, le tapis sous le pied des retraités, au lieu de leur assurer une bonne fin de parcours de vie. Si l’on sait qu’un Marocain salarié travaille toute sa vie sans pour autant arriver au tiers de la retraite du Français et d’espérer, avec les prix qui grimpent, d’aller à la Mecque. Ce rêve même de la plupart des personnes du troisième âge est devenu hors portée ces dernières années, avec les prix du séjour qui flambent. Il ne leur reste plus que les retrouvailles entre amis, au café du coin, pour jouer aux cartes. A la bonne heure !
Que faut-il de plus pour vivre décemment ?
D’ailleurs, on a toujours observé devant les hôtels des bus plein de personnes du 3e âge de pays européens, venus passer des vacances dans notre pays. Leur retraite leur permet de voyager et de sillonner le monde d’autant plus qu’ils trouvent des offres avantageuses au Maroc.
Selon les dernières statistiques, le nombre de Français résidants au Maroc est en hausse. En 2020, Ils sont 53 800 inscrits sur les registres consulaires. Le nombre de ressortissants français établis au Maroc est passé à 80 000. La communauté française regroupe entre volontaires internationaux, salariés, entrepreneurs, retraités…, et sont installés, pour la plupart, à Casablanca, Rabat et Marrakech.
Selon le site « Français à l’étranger.fr », le pensionné Français vit très bien au Maroc. La vie au pays d’accueil coûte 40% moins cher aux retraités français, et ils peuvent même économiser. D’autant plus que c’est de l’argent gagné en devises qui est dépensé en dirhams. En plus, l’hiver est doux, le soleil est toujours au rendez-vous, nos fruits et légumes sont bios, la vie est plus calme et moins stressante. Ils peuvent faire des randonnées, consommer bio, avoir une vie saine...
Tout ce cadre de vie accueillant permet à 30 000 retraités français, de venir chaque année en camping-car se dorer au soleil marocain, sachant qu’ils peuvent y séjourner jusqu’à 90 jours sans visa, puis avoir, à terme, une carte d’immatriculation.
S’il est devenu plus facile pour les étudiants marocains en France, en tout cas les hauts cadres, d’avoir leur nationalité après quelques années de travail, les retraités français aussi peuvent obtenir la carte de résidence, valable 10 ans, après 3 ans de résidence.
Et si les retraités français se retrouvent chez nous, les Marocains, nos résidents en France, ne pensent qu’à revenir au bercail après leur si long séjour en France, vu la cherté de la vie et les retrouvailles en famille. Ce qui leur manque, ce sont par excellence, les services de santé français, à cet âge où les os ne sont plus aussi endurcis…
Qu’en est-il de nos retraités marocains ? Que fait notre pays pour eux ? Se la coulent-ils douce eux aussi ? Les régimes de retraite sont-ils assez satisfaisants ? C’est la question à poser.
L’Etat se permet de tirer, depuis belle lurette, le tapis sous le pied des retraités, au lieu de leur assurer une bonne fin de parcours de vie. Si l’on sait qu’un Marocain salarié travaille toute sa vie sans pour autant arriver au tiers de la retraite du Français et d’espérer, avec les prix qui grimpent, d’aller à la Mecque. Ce rêve même de la plupart des personnes du troisième âge est devenu hors portée ces dernières années, avec les prix du séjour qui flambent. Il ne leur reste plus que les retrouvailles entre amis, au café du coin, pour jouer aux cartes. A la bonne heure !