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Septembre s'est avéré être un mois historique pour les voitures électriques en Europe, représentant 20 % des immatriculations dans l'Union. Cependant, il est important de noter que le mois de septembre est traditionnellement propice aux livraisons et immatriculations, et ce taux élevé pourrait être en partie attribuable à cette saisonnalité. Pour obtenir une image plus précise, il est préférable d'examiner les données sur les neuf premiers mois de l'année. Cette période révèle des tendances significatives concernant le diesel, l'essence, les hybrides et les véhicules électriques.
Durant ces neuf mois, le diesel a connu une baisse continue, passant de 17 % à 14 % de part de marché en Europe. En revanche, l'hybride a progressé de 22 % à 25 %, et l'électrique est passé de 10 % à 14 % de part de marché. Les hybrides rechargeables (8 % à 7 %) et l'essence (37 % à 36 %) ont également perdu du terrain, bien que de manière plus modérée.
Une tendance claire se dessine : les véhicules électriques et les hybrides non rechargeables gagnent en popularité. Les premiers sont portés en partie par des constructeurs tels que Tesla et MG, tandis que les seconds bénéficient de l'arrivée de nouveaux modèles de marques telles que Renault et Stellantis.
Cependant, se pose la question de savoir si la croissance de l'électrique a atteint son apogée. Cette question pourrait être remise en cause par l'arrivée de nouveaux modèles innovants qui changent la donne sur le marché. Par exemple, la Citroën e-C3 pourrait jouer un rôle majeur, en visant non seulement les "early adopters" déjà convaincus par des marques comme Tesla, BMW ou Mercedes, mais aussi le grand public en proposant une alternative polyvalente. À l'exception de certains modèles, comme la MG4, qui semble profiter des subventions chinoises pour réduire les prix, des véhicules tels que la C3 électrique, la future R5 et les Volkswagen ID.1/ID.2 pourraient permettre aux véhicules électriques de conquérir de nouveaux horizons et de franchir une nouvelle étape sur le marché automobile européen.
Durant ces neuf mois, le diesel a connu une baisse continue, passant de 17 % à 14 % de part de marché en Europe. En revanche, l'hybride a progressé de 22 % à 25 %, et l'électrique est passé de 10 % à 14 % de part de marché. Les hybrides rechargeables (8 % à 7 %) et l'essence (37 % à 36 %) ont également perdu du terrain, bien que de manière plus modérée.
Une tendance claire se dessine : les véhicules électriques et les hybrides non rechargeables gagnent en popularité. Les premiers sont portés en partie par des constructeurs tels que Tesla et MG, tandis que les seconds bénéficient de l'arrivée de nouveaux modèles de marques telles que Renault et Stellantis.
Cependant, se pose la question de savoir si la croissance de l'électrique a atteint son apogée. Cette question pourrait être remise en cause par l'arrivée de nouveaux modèles innovants qui changent la donne sur le marché. Par exemple, la Citroën e-C3 pourrait jouer un rôle majeur, en visant non seulement les "early adopters" déjà convaincus par des marques comme Tesla, BMW ou Mercedes, mais aussi le grand public en proposant une alternative polyvalente. À l'exception de certains modèles, comme la MG4, qui semble profiter des subventions chinoises pour réduire les prix, des véhicules tels que la C3 électrique, la future R5 et les Volkswagen ID.1/ID.2 pourraient permettre aux véhicules électriques de conquérir de nouveaux horizons et de franchir une nouvelle étape sur le marché automobile européen.
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