A lire ou à écouter en podcast : (2.29 Mo)
Et pour causes, le département des finances publiques de cette institution de Bretton Woods constate, à travers un article de blog daté du 15 décembre, le fait que l’année 2020 a vu la plus forte augmentation de la dette sur un an depuis la Seconde Guerre mondiale : la dette mondiale en augmentation de 28 points de pourcentage a atteint, au moment où le monde entier traversait une crise sanitaire et une profonde récession, un niveau record de 226 000 milliards de dollars.
Soit, 256 % du PIB mondial, à en juger par la dernière mise à jour de la Base de données mondiale du FMI sur la dette.
Aussi, est-il précisé, de même source, qu’un « peu plus de la moitié de cette augmentation revient aux emprunts contractés par les États dont le ratio de la dette publique mondiale avait bondi à un niveau record de 99 % du PIB mondial ». Quoique « la dette privée contractée par les sociétés non-financières et les ménages ait, elle aussi, atteint de nouveaux sommets ».
De même, « l’accroissement de la dette est particulièrement marqué dans les pays avancés, où la dette publique est passée d’environ 70 % du PIB en 2007 à 124 % du PIB en 2020. Quant à la dette privée, elle a augmenté plus lentement, passant de 164 % à 178 % du PIB au cours de la même période ».
Désormais, soutient, le FMI, « la dette publique représente près de 40 % de la dette mondiale totale, une proportion jamais atteinte depuis le milieu des années 60 ».
Pour le FMI, « l’accumulation de dette publique depuis 2007 tient largement aux deux crises économiques majeures auxquelles ont fait face les États, à savoir la crise financière mondiale puis la pandémie de COVID-19 ».
A ce niveau, le FMI évoque une certaine fracture financière dans la mesure ou la dynamique de la dette est loin d’être la même dans tous les pays : Les pays avancés et la Chine sont responsables de plus de 90 % des 28 000 milliards de dollars de dette supplémentaire contractée en 2020.
Soit, 256 % du PIB mondial, à en juger par la dernière mise à jour de la Base de données mondiale du FMI sur la dette.
Aussi, est-il précisé, de même source, qu’un « peu plus de la moitié de cette augmentation revient aux emprunts contractés par les États dont le ratio de la dette publique mondiale avait bondi à un niveau record de 99 % du PIB mondial ». Quoique « la dette privée contractée par les sociétés non-financières et les ménages ait, elle aussi, atteint de nouveaux sommets ».
De même, « l’accroissement de la dette est particulièrement marqué dans les pays avancés, où la dette publique est passée d’environ 70 % du PIB en 2007 à 124 % du PIB en 2020. Quant à la dette privée, elle a augmenté plus lentement, passant de 164 % à 178 % du PIB au cours de la même période ».
Désormais, soutient, le FMI, « la dette publique représente près de 40 % de la dette mondiale totale, une proportion jamais atteinte depuis le milieu des années 60 ».
Pour le FMI, « l’accumulation de dette publique depuis 2007 tient largement aux deux crises économiques majeures auxquelles ont fait face les États, à savoir la crise financière mondiale puis la pandémie de COVID-19 ».
A ce niveau, le FMI évoque une certaine fracture financière dans la mesure ou la dynamique de la dette est loin d’être la même dans tous les pays : Les pays avancés et la Chine sont responsables de plus de 90 % des 28 000 milliards de dollars de dette supplémentaire contractée en 2020.