Netflix rend hommage aux pionnières du genre à travers la série-documentaire Ladies First: Les femmes du hip-hop américain, diffusée dès le 9 août sur Netflix. Les réalisatrices (Hannah Beachler, Raeshem Nijhon et dream hampton) ont décidé de répartir l’oeuvre en quatre épisodes (de 45 à 60 minutes), eux-mêmes divisés par chapitres.
Ce nouveau programme met en lumière des rappeuses, productrices, autrices-compositrices, journalistes, stylistes et figures clés des grands labels, qui ont contribué par leur manière dans l'histoire de ce genre musical dominé par les hommes à travers les années.
Ce nouveau programme met en lumière des rappeuses, productrices, autrices-compositrices, journalistes, stylistes et figures clés des grands labels, qui ont contribué par leur manière dans l'histoire de ce genre musical dominé par les hommes à travers les années.
Inspirer la nouvelle génération
Ladies First revient de manière chronologique sur le parcours des pionnières du hip-hop qui après beaucoup d'efforts ont réussi à se faire un nom et s'imposer dans un milieu essentiellement masculin.
On y découvre ainsi le récit de Sha-Rock, considérée comme la première rappeuse de l'histoire ainsi que MC Lyte, première femme à sortir un album de rap en solo avec Lyte as a Rock en 1988 et également la première rappeuse à se produire à la Maison Blanche sous la présidence de Barack Obama.
La série met aussi en avant le parcours de la rappeuse Roxanne Shanté. Alors âgée de 14 ans, originaire des HLM de l’arrondissement Queens, à New York, elle attrape la piqûre du rap à et se joint au collectif Juice Crew, formé de Biz Markie, Big Daddy Kane, Masta Ace et plusieurs autres. Roxanne Shanté passera à l’histoire autant pour son talent au microphone que pour son sens de la répartie : objet de moqueries dans une chanson (Roxanne, Roxanne) d’un collectif rival (U.T.F.O.), elle répondra avec sa propre salve d’insultes sur Roxanne’s Revenge, considérée comme la première « diss track » de l’histoire du hip-hop.
À l'aube du 50e anniversaire de la naissance du hip-hop, cette série-documentaire appuyer la place des femmes dans l'histoire de cette culture et pour continuer à faire résonner les voix de ces pionnières afin d'inspirer la nouvelle génération, portée par les superstars Cardi B, Megan Thee Stallion, Nicky Minaj, Coi Leray, Latto, Saweetie ou encore Ice Spice.
L'ODJ avec ledevoir
On y découvre ainsi le récit de Sha-Rock, considérée comme la première rappeuse de l'histoire ainsi que MC Lyte, première femme à sortir un album de rap en solo avec Lyte as a Rock en 1988 et également la première rappeuse à se produire à la Maison Blanche sous la présidence de Barack Obama.
La série met aussi en avant le parcours de la rappeuse Roxanne Shanté. Alors âgée de 14 ans, originaire des HLM de l’arrondissement Queens, à New York, elle attrape la piqûre du rap à et se joint au collectif Juice Crew, formé de Biz Markie, Big Daddy Kane, Masta Ace et plusieurs autres. Roxanne Shanté passera à l’histoire autant pour son talent au microphone que pour son sens de la répartie : objet de moqueries dans une chanson (Roxanne, Roxanne) d’un collectif rival (U.T.F.O.), elle répondra avec sa propre salve d’insultes sur Roxanne’s Revenge, considérée comme la première « diss track » de l’histoire du hip-hop.
À l'aube du 50e anniversaire de la naissance du hip-hop, cette série-documentaire appuyer la place des femmes dans l'histoire de cette culture et pour continuer à faire résonner les voix de ces pionnières afin d'inspirer la nouvelle génération, portée par les superstars Cardi B, Megan Thee Stallion, Nicky Minaj, Coi Leray, Latto, Saweetie ou encore Ice Spice.
L'ODJ avec ledevoir