Tout passe : l’huile, la farine, le couscous, les féculents, le lait…, une marge de prix, en hausse de quelques dirhams à plus de 25 dh, et qui devient hors portée des petites bourses. Sans compter le carburant dont le prix à la pompe, du diesel et de l’essence, a flambé. Il faut dire que le gasoil frôle le prix de l’essence d’il y a quelques mois (presque 10 dhs). Cette hausse du carburant dépasse de loin les prix d’avant la crise sanitaire.
La confiance des citoyens envers ce nouveau gouvernement commence à se perdre, ternir et diminuer de son acuité. Tout d’abord, avec l’obligation du pass sanitaire qui commence à gêner la libre-circulation et ensuite, avec ce rythme accéléré d’augmentations déraisonnées. Comme dit la citation : « La confiance se gagne en gouttes et se perd en litres ».
Et pourtant, les citoyens marocains qui en ont eu assez du PJD, faute à son manque d’intérêt pour les ressources humaines et pour, « la poche des citoyens », et face aux engagements non tenus, ont viré le cap et opté pour le changement voulu radical, avec d’autres partis. Ils ne s’attendaient pas à ce que ce nouveau gouvernement fasse de même ou pire, à peine 3 semaines après sa composition.
Où sont passés les promesses et le programme dont on nous a rabattu les oreilles ? Qu’en est-il du nouveau modèle de développement qui devait focaliser sur le social et les ressources humaines ?
Devrait-on « ressentir » tout d’abord cette inflation avant d’espérer la concrétisation des promesses du chef de l’exécutif (pour que la balance reste au même point) ?
Si parmi ses engagements, il y a la réduction des disparités sociales et territoriales, ces augmentations, au contraire, ne feront que creuser le gap.
Soyez rassurés chers citoyens et citoyennes, à cette cadence, le revenu de dignité de 1000 dhs d’ici 2026 pour les personnes âgées, l’allocation de naissance au profit des familles nécessiteuses qui sera de 2.000 dirhams à la naissance du premier enfant, et de 1.000 dirhams à la naissance du deuxième, ainsi que la généralisation des allocations familiales fixées à 300 dirhams par mois pour chaque enfant, se concrétiseront certes, mais, juste après le dépouillement et l’appauvrissement des citoyens, à travers ces hausses des prix.
C’est une « balance », donnant-donnant, qui bascule d’un côté à l’autre jusqu’à « gagner » son équilibre, sur le dos des citoyens.
On prend d’un côté pour redorer son blason de l’autre côté !
La confiance des citoyens envers ce nouveau gouvernement commence à se perdre, ternir et diminuer de son acuité. Tout d’abord, avec l’obligation du pass sanitaire qui commence à gêner la libre-circulation et ensuite, avec ce rythme accéléré d’augmentations déraisonnées. Comme dit la citation : « La confiance se gagne en gouttes et se perd en litres ».
Et pourtant, les citoyens marocains qui en ont eu assez du PJD, faute à son manque d’intérêt pour les ressources humaines et pour, « la poche des citoyens », et face aux engagements non tenus, ont viré le cap et opté pour le changement voulu radical, avec d’autres partis. Ils ne s’attendaient pas à ce que ce nouveau gouvernement fasse de même ou pire, à peine 3 semaines après sa composition.
Où sont passés les promesses et le programme dont on nous a rabattu les oreilles ? Qu’en est-il du nouveau modèle de développement qui devait focaliser sur le social et les ressources humaines ?
Devrait-on « ressentir » tout d’abord cette inflation avant d’espérer la concrétisation des promesses du chef de l’exécutif (pour que la balance reste au même point) ?
Si parmi ses engagements, il y a la réduction des disparités sociales et territoriales, ces augmentations, au contraire, ne feront que creuser le gap.
Soyez rassurés chers citoyens et citoyennes, à cette cadence, le revenu de dignité de 1000 dhs d’ici 2026 pour les personnes âgées, l’allocation de naissance au profit des familles nécessiteuses qui sera de 2.000 dirhams à la naissance du premier enfant, et de 1.000 dirhams à la naissance du deuxième, ainsi que la généralisation des allocations familiales fixées à 300 dirhams par mois pour chaque enfant, se concrétiseront certes, mais, juste après le dépouillement et l’appauvrissement des citoyens, à travers ces hausses des prix.
C’est une « balance », donnant-donnant, qui bascule d’un côté à l’autre jusqu’à « gagner » son équilibre, sur le dos des citoyens.
On prend d’un côté pour redorer son blason de l’autre côté !