Chanter, danser et boire du thé
« Comme au Maroc», annonce l’Institut national de l’audiovisuel (INA) dans une publication qui accompagne cette vidéo, tournée en 1963 et montrant «des étudiants de la Cité universitaire (qui) se réunissent au pavillon marocain pour chanter, danser et boire du thé».
Sur ces images rares, de jeunes hommes, vêtus de jellabas ou de costumes occidentaux, se produisent en jouant chacun d'un instrument de musique, que ce soit le luth, la derbouka ou le bendir.
Sur ces images rares, de jeunes hommes, vêtus de jellabas ou de costumes occidentaux, se produisent en jouant chacun d'un instrument de musique, que ce soit le luth, la derbouka ou le bendir.
Un bel hommage à la culture marocaine
En même temps, les jeunes filles, revêtues de somptueux caftans traditionnels marocains et parées de bijoux, coiffées avec élégance en chignon ou selon la mode de l'époque, entonnent en chœur des chansons tirées du riche répertoire populaire marocain, dont l'incontournable «Chams al Aachiya».
Dans cette ambiance bon enfant, le groupe d’étudiants, assis en demi-cercle dans une pièce parée de tapis marocains, partage le rituel du thé et accompagne sa musique de quelques pas de danse, tout en élégance.
Un bel hommage à la culture marocaine et à la richesse d’un patrimoine sur lequel le temps n’a pas de prise.
Dans cette ambiance bon enfant, le groupe d’étudiants, assis en demi-cercle dans une pièce parée de tapis marocains, partage le rituel du thé et accompagne sa musique de quelques pas de danse, tout en élégance.
Un bel hommage à la culture marocaine et à la richesse d’un patrimoine sur lequel le temps n’a pas de prise.
L'odj avec Le360