Le vendredi 19 octobre, sous la présidence du chef du gouvernement Aziz Akhannouch, plusieurs projets de décrets ont été présentés par le ministre délégué chargé du Budget, Fouzi Lekjaa, au Conseil de gouvernement. L'une des mesures phares est la suspension des droits d’importation sur l’huile d’olive vierge et extra vierge. Ce produit, largement consommé par les Marocains, a vu ses prix s’envoler, rendant cet allègement fiscal indispensable pour stabiliser le marché.
Dans le même esprit, d'autres décrets ont été adoptés. Le décret n° 2.24.961, qui modifie un précédent texte de janvier 2024, prolonge la suspension des droits d'importation des bovins domestiques. À cela s'ajoute le décret n° 2.24.963, qui élargit cette suspension aux ovins domestiques ainsi qu'aux viandes issues des bovins, ovins, caprins et camélidés. Ces ajustements visent à rendre ces sources de protéines plus accessibles aux consommateurs, tout en contribuant à stabiliser les prix sur un marché en pleine fluctuation.
Ces mesures témoignent d’une approche proactive du gouvernement pour éviter la flambée des prix observée les années précédentes. En agissant sur les droits d’importation, l'objectif est double : d’une part, garantir un approvisionnement suffisant sur le marché intérieur, et d’autre part, contenir l’inflation afin de ne pas altérer davantage le pouvoir d’achat des citoyens. Une telle stratégie permettra peut-être de restaurer l'équilibre du marché alimentaire marocain, tout en maintenant une certaine sérénité sociale face aux tensions économiques.
Dans le même esprit, d'autres décrets ont été adoptés. Le décret n° 2.24.961, qui modifie un précédent texte de janvier 2024, prolonge la suspension des droits d'importation des bovins domestiques. À cela s'ajoute le décret n° 2.24.963, qui élargit cette suspension aux ovins domestiques ainsi qu'aux viandes issues des bovins, ovins, caprins et camélidés. Ces ajustements visent à rendre ces sources de protéines plus accessibles aux consommateurs, tout en contribuant à stabiliser les prix sur un marché en pleine fluctuation.
Ces mesures témoignent d’une approche proactive du gouvernement pour éviter la flambée des prix observée les années précédentes. En agissant sur les droits d’importation, l'objectif est double : d’une part, garantir un approvisionnement suffisant sur le marché intérieur, et d’autre part, contenir l’inflation afin de ne pas altérer davantage le pouvoir d’achat des citoyens. Une telle stratégie permettra peut-être de restaurer l'équilibre du marché alimentaire marocain, tout en maintenant une certaine sérénité sociale face aux tensions économiques.