Le SG commence son rapport en citant les nouvelles victoires diplomatiques du Maroc depuis le dernier rapport (octobre 2023).
Il énonce ainsi la nouvelle position de la France, membre du Conseil de Sécurité de l'ONU, en faveur de la souveraineté marocaine.
Il cite ensuite le nouveau consulat du Tchad à Dakhla.
Dans les deux cas, il rapporte que le Polisario et l'Algérie lui ont envoyé des lettres de contestation.
Parmi les événements majeurs, il mentionne également la nouvelle initiative de SM le Roi visant à offrir un accès aux pays du Sahel.Le SG indique ensuite que le Maroc intensifie le développement économique.
Il cite en exemple les énergies renouvelables, les infrastructures (port, routes...) et les activités commerciales.
Le Polisario répond qu'il n'acceptera pas le "fait accompli" sur le terrain.
Le SG a confirmé que le Polisario continuait d'envoyer des roquettes vers le Sahara.
164 de ces attaques ont été communiquées à la MINURSO par les FAR, dont 75 % dans la région de Mahbes.
Cependant, à la suite des visites de la MINURSO sur les lieux d'impact, il a été observé que ces projectiles tombaient majoritairement dans des terrains vagues, causant des dommages insignifiants.
Ces observations indépendantes de la MINURSO mettent à mal la propagande du Polisario, qui publie quasi-quotidiennement des communiqués faisant état de dégâts énormes sur le mur, de la destruction de bases militaires, et de "dégâts humains" au sein des FAR.(C'est FAUX)
Le SG a également rappelé les attaques contre les civils, notamment à Smara et Aousserd.
À noter que le Polisario n'a pas répondu aux questions de la MINURSO sur ces attaques.
Le rapport révèle également que le Maroc a commencé à construire de nouveaux camps militaires au Sahara, vraisemblablement pour la première fois depuis 1991.
Ainsi, quatre camps ont été observés autour de Mahbes et deux autres autour d'Aousserd, plus au sud.
Le Maroc continue également de mener des frappes aériennes à l'est du mur.
À l'inverse des frappes du Polisario, qui tombent dans le vide, les frappes de drones marocains 🇲🇦 causent des "dégâts humains et matériels", selon la MINURSO.
La MINURSO s'est déplacée sur les lieux de 12 de ces frappes.
La plupart des frappes ont lieu dans la région de Mijek, près de la frontière mauritanienne.
Le Polisario empêche la MINURSO d'accéder immédiatement aux zones d'impact et refuse également de laisser les blessés (qu'ils font passer pour des orpailleurs) être interviewés.La MINURSO ne peut donc ni confirmer, ni démentir ces allégations du Polisario.
Rien n'a changé dans les positions politiques des parties prenantes.
Le Maroc continue de refuser toute négociation en dehors du plan d'autonomie, et sans la présence de l'Algérie aux tables rondes.
L'Algérie continue de dire qu'elle n'est pas partie prenante.
Le SG de l'ONU a toutefois souligné que l'Algérie avait retiré son ambassadeur de Paris, à la suite du soutien français au plan d'autonomie.
La Mauritanie regrette l'impact négatif de ce conflit sur l'intégration maghrébine et réaffirme sa position de "neutralité positive".
Le Polisario continue de refuser toute négociation qui n'aboutirait pas à un référendum d'indépendance.
Sur le plan opérationnel et logistique
Les membres de la MINURSO ont effectué plus de 9 000 visites à l'ouest et le long du mur, où ils n'ont remarqué aucun échange de feu.
Cela met encore une fois à mal la propagande mensongère du Polisario.
À l'est du mur, le Polisario continue à limiter les mouvements de la MINURSO à un seul déploiement par mois, dans un rayon de 20 km.
Les vols d'hélicoptères sont toujours interdits par le Polisario.
Évolution inquiétante, les FAR ont également rapporté que, à 14 reprises, des drones ennemis ont survolé des troupes marocaines.
Cela signifie que l'Algérie (et probablement d'autres acteurs internationaux) a commencé à armer le Polisario de drones, et certainement à les opérer eux-mêmes.
Le chef militaire de la MINURSO a visité trois fois le chef d'état-major (Zone Sud) à Agadir
Sept autres réunions ont eu lieu à Guelmim, Laâyoune et Dakhla.
Dans le même temps, la MINURSO n'a pas réussi à rencontrer une seule fois le "leadership" militaire du Polisario.
Il énonce ainsi la nouvelle position de la France, membre du Conseil de Sécurité de l'ONU, en faveur de la souveraineté marocaine.
Il cite ensuite le nouveau consulat du Tchad à Dakhla.
Dans les deux cas, il rapporte que le Polisario et l'Algérie lui ont envoyé des lettres de contestation.
Parmi les événements majeurs, il mentionne également la nouvelle initiative de SM le Roi visant à offrir un accès aux pays du Sahel.Le SG indique ensuite que le Maroc intensifie le développement économique.
Il cite en exemple les énergies renouvelables, les infrastructures (port, routes...) et les activités commerciales.
Le Polisario répond qu'il n'acceptera pas le "fait accompli" sur le terrain.
Le SG a confirmé que le Polisario continuait d'envoyer des roquettes vers le Sahara.
164 de ces attaques ont été communiquées à la MINURSO par les FAR, dont 75 % dans la région de Mahbes.
Cependant, à la suite des visites de la MINURSO sur les lieux d'impact, il a été observé que ces projectiles tombaient majoritairement dans des terrains vagues, causant des dommages insignifiants.
Ces observations indépendantes de la MINURSO mettent à mal la propagande du Polisario, qui publie quasi-quotidiennement des communiqués faisant état de dégâts énormes sur le mur, de la destruction de bases militaires, et de "dégâts humains" au sein des FAR.(C'est FAUX)
Le SG a également rappelé les attaques contre les civils, notamment à Smara et Aousserd.
À noter que le Polisario n'a pas répondu aux questions de la MINURSO sur ces attaques.
Le rapport révèle également que le Maroc a commencé à construire de nouveaux camps militaires au Sahara, vraisemblablement pour la première fois depuis 1991.
Ainsi, quatre camps ont été observés autour de Mahbes et deux autres autour d'Aousserd, plus au sud.
Le Maroc continue également de mener des frappes aériennes à l'est du mur.
À l'inverse des frappes du Polisario, qui tombent dans le vide, les frappes de drones marocains 🇲🇦 causent des "dégâts humains et matériels", selon la MINURSO.
La MINURSO s'est déplacée sur les lieux de 12 de ces frappes.
La plupart des frappes ont lieu dans la région de Mijek, près de la frontière mauritanienne.
Le Polisario empêche la MINURSO d'accéder immédiatement aux zones d'impact et refuse également de laisser les blessés (qu'ils font passer pour des orpailleurs) être interviewés.La MINURSO ne peut donc ni confirmer, ni démentir ces allégations du Polisario.
Rien n'a changé dans les positions politiques des parties prenantes.
Le Maroc continue de refuser toute négociation en dehors du plan d'autonomie, et sans la présence de l'Algérie aux tables rondes.
L'Algérie continue de dire qu'elle n'est pas partie prenante.
Le SG de l'ONU a toutefois souligné que l'Algérie avait retiré son ambassadeur de Paris, à la suite du soutien français au plan d'autonomie.
La Mauritanie regrette l'impact négatif de ce conflit sur l'intégration maghrébine et réaffirme sa position de "neutralité positive".
Le Polisario continue de refuser toute négociation qui n'aboutirait pas à un référendum d'indépendance.
Sur le plan opérationnel et logistique
Les membres de la MINURSO ont effectué plus de 9 000 visites à l'ouest et le long du mur, où ils n'ont remarqué aucun échange de feu.
Cela met encore une fois à mal la propagande mensongère du Polisario.
À l'est du mur, le Polisario continue à limiter les mouvements de la MINURSO à un seul déploiement par mois, dans un rayon de 20 km.
Les vols d'hélicoptères sont toujours interdits par le Polisario.
Évolution inquiétante, les FAR ont également rapporté que, à 14 reprises, des drones ennemis ont survolé des troupes marocaines.
Cela signifie que l'Algérie (et probablement d'autres acteurs internationaux) a commencé à armer le Polisario de drones, et certainement à les opérer eux-mêmes.
Le chef militaire de la MINURSO a visité trois fois le chef d'état-major (Zone Sud) à Agadir
Sept autres réunions ont eu lieu à Guelmim, Laâyoune et Dakhla.
Dans le même temps, la MINURSO n'a pas réussi à rencontrer une seule fois le "leadership" militaire du Polisario.