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Et si Brahim Ghali mourait...de sa belle mort.mp3 (8.41 Mo)
Une Espagne double…
Comment l’Espagne peut-elle sortir du trou ? Trouver un exutoire à moindre coût à la gangrène diplomatique semée sciemment avec son voisin marocain ?
Tout porte à croire que l’Espagne poussée dans les retranchements de sa dérive, s’ingénie à souffler le chaud et le froid sur le cours handicapé, stagnant, prédisposée à moisir, entre nos deux pays.
D’un côté, Madrid s’évertue à dire ne vouloir de crise avec le Maroc, que le faussaire-tortionnaire chéri des autorités ibériques s’inclinerait devant les besoins d’une enquête si besoin est, que le Maroc est bon pilier quand il retourne des renseignements, et des bains de sang avortés.
De l’autre, c’est le creux de la vague, et c’est l’Espagne « souveraine » qui infirme de ses mots à l’eau de rose, mielleux.
Une dialectique dont le Maroc se passerait sans attendre, si justice fut apportée à ce dossier poisseux... sur fond de traitrise
Une Espagne qui affirme le cran levé que le « chéri » des autorités « décollera » une fois le nécessaire humanitaire accompli.
Toujours de ce côté amer, une Espagne qui ameute l’Union Européenne, passée maîtresse dans les tours de diversion, sort de son chapeau bicorne de ces migrants aux portes de l’Europe, pour escamoter du rebord de son toupet, une tache qui prend fort, déteint sur un horizon diplomatique entamé.
Que dire de cet empressement enjoué, perdu, confondu en gratitude à l’égard d’une main forte et Européenne prêtée à qui vous savez ?
Et de renchérir, sous couvert du déplacement de problématique, de ce bras de fer, « tous contre un », que le Maroc ne saurait trouver meilleur allié que l’Espagne.
Une Espagne égoïste…
Comme si l’Espagne se coiffait d’un bonnet salvateur, mettait sous son aile un Maroc pris dans de mauvais draps européens.
Sans doute faut-il être dupe pour aller s’écraser sur le mur de l’arbitraire...car à entrecroiser les sorties espagnoles, les calculs sont faits !
L’Espagne au lieu de revoir son pas de trop, guette, à la lorgnette, un interstice à creuser jusqu’en faire un trou noir, de quoi broyer sa complicité criminelle.
Le Maroc a compris le jeu: sur-dimensionner cette affaire cyclique et migrante, au détriment de ladite « «déraison » humanitaire... dans le dos.
De même que le Maroc, dans cette lignée-bouc-émissaire et migrante que l’Espagne a fait sienne, a fait « sonner » ses prérequis en la matière: non le Maroc n’est pas le concierge de l’Europe.
C’est faire montre d’un égoïsme échevelé que de « déraisonner » de la sorte...en définitive, l’Espagne brandit en étendard européen ses priorités sans daigner s’enquérir de celles du Maroc.
Si l’Espagne érige au rang des favoris le dossier de l’émigration, le Maroc, lui, n’est pas d’humeur à badiner avec ses moindres monceaux de terre.
C’est faire preuve d’un « quant à soi » exacerbé que de ne pas prêter un œil à cet inconditionnel marocain.
Et non, l’Espagne ne pourrait monnayer ce « joyau » marocain à coups d’euros qui, d’ailleurs, frappent par insuffisance, car venons-en aux chiffres, puisque la parade nous y mène, qu’est-ce que 350 malheureux millions comparés à 6 millions alloués à l’empire Erdogan...
Non le Maroc ne peut souffrir de ces coups bas, de ces déplacements intéressés d’une problématique qui n’est, du reste, qu’accessoire eu égard d’une raison de cœur: Son Sahara.
Comment l’Espagne peut-elle sortir du trou ? Trouver un exutoire à moindre coût à la gangrène diplomatique semée sciemment avec son voisin marocain ?
Tout porte à croire que l’Espagne poussée dans les retranchements de sa dérive, s’ingénie à souffler le chaud et le froid sur le cours handicapé, stagnant, prédisposée à moisir, entre nos deux pays.
D’un côté, Madrid s’évertue à dire ne vouloir de crise avec le Maroc, que le faussaire-tortionnaire chéri des autorités ibériques s’inclinerait devant les besoins d’une enquête si besoin est, que le Maroc est bon pilier quand il retourne des renseignements, et des bains de sang avortés.
De l’autre, c’est le creux de la vague, et c’est l’Espagne « souveraine » qui infirme de ses mots à l’eau de rose, mielleux.
Une dialectique dont le Maroc se passerait sans attendre, si justice fut apportée à ce dossier poisseux... sur fond de traitrise
Une Espagne qui affirme le cran levé que le « chéri » des autorités « décollera » une fois le nécessaire humanitaire accompli.
Toujours de ce côté amer, une Espagne qui ameute l’Union Européenne, passée maîtresse dans les tours de diversion, sort de son chapeau bicorne de ces migrants aux portes de l’Europe, pour escamoter du rebord de son toupet, une tache qui prend fort, déteint sur un horizon diplomatique entamé.
Que dire de cet empressement enjoué, perdu, confondu en gratitude à l’égard d’une main forte et Européenne prêtée à qui vous savez ?
Et de renchérir, sous couvert du déplacement de problématique, de ce bras de fer, « tous contre un », que le Maroc ne saurait trouver meilleur allié que l’Espagne.
Une Espagne égoïste…
Comme si l’Espagne se coiffait d’un bonnet salvateur, mettait sous son aile un Maroc pris dans de mauvais draps européens.
Sans doute faut-il être dupe pour aller s’écraser sur le mur de l’arbitraire...car à entrecroiser les sorties espagnoles, les calculs sont faits !
L’Espagne au lieu de revoir son pas de trop, guette, à la lorgnette, un interstice à creuser jusqu’en faire un trou noir, de quoi broyer sa complicité criminelle.
Le Maroc a compris le jeu: sur-dimensionner cette affaire cyclique et migrante, au détriment de ladite « «déraison » humanitaire... dans le dos.
De même que le Maroc, dans cette lignée-bouc-émissaire et migrante que l’Espagne a fait sienne, a fait « sonner » ses prérequis en la matière: non le Maroc n’est pas le concierge de l’Europe.
C’est faire montre d’un égoïsme échevelé que de « déraisonner » de la sorte...en définitive, l’Espagne brandit en étendard européen ses priorités sans daigner s’enquérir de celles du Maroc.
Si l’Espagne érige au rang des favoris le dossier de l’émigration, le Maroc, lui, n’est pas d’humeur à badiner avec ses moindres monceaux de terre.
C’est faire preuve d’un « quant à soi » exacerbé que de ne pas prêter un œil à cet inconditionnel marocain.
Et non, l’Espagne ne pourrait monnayer ce « joyau » marocain à coups d’euros qui, d’ailleurs, frappent par insuffisance, car venons-en aux chiffres, puisque la parade nous y mène, qu’est-ce que 350 malheureux millions comparés à 6 millions alloués à l’empire Erdogan...
Non le Maroc ne peut souffrir de ces coups bas, de ces déplacements intéressés d’une problématique qui n’est, du reste, qu’accessoire eu égard d’une raison de cœur: Son Sahara.
Que nous prépare l’Espagne ?
Alors que les intentions tombent les masques, à tracer le cheminement sinueux de cette bourde , l’on constate la levée par touches successives de ces objets de fâcheries, de disgrâce qui entachent cet Espagne qui ne sait de quelle syllabe donner.
D’abord, on glisse en ouverture , que le cher « Ghali » serait à des lieues d’avoir entamé son escale-sanitaire par le biais d’un faux passeport.
Ceci ne conforte-t-il pas l’idée d’une duperie en gestation qui prépare le « laisser-filer » du tortionnaire ?
Sûrement ! d’une base militaire, faisant « déshonneur » au procédé fomenté dans l’axe Madrid-Alger.
Car c’est bien de par les accointances tissées dans les hautes sphères des pays soulignés que cette parade mise en pièces de par les renseignements marocains fut goupillée .
Alors que ce tour de passe-passe espagnol appuyé sur cette ruée humaine qui mit le cap sur l’enclave de Sebta tombe à l’eau, que le Maroc redouble de fermeté face aux tergiversations espagnoles, quel pas irait encore engager une Espagne mise à nue ?
Et si le « cher » mourait de sa belle mort ? Ceci, il est vrai, conforterait l’Espagne d’une position moins sujette au blâme...
car sans doute, pourrait-elle après coup, battre sa coulpe, reconnaître son « trop » penchant de cœur -humanitaire, alléguer, de manière concomitante, que si le regretté venait à survivre, elle aurait mit son honneur à lever tout entrave pour que la justice fasse le nécessaire, convoque le présumé (innocent), éclaire de ces chefs d’accusations qui pèsent comme plomb sur sa personne.
que du faux passeport, il n’en est rien... et que même si c’en était le cas, ce fut pour des raisons sécuritaires, bref, l’Espagne pourrait chanter à son goût et ses castagnettes les causes de sa...flétrissure.
Ceci dit, gardons sous tête la thèse que l’Algérie aurait à cœur de se délester de ce chef devenu clivant...clin d’œil aux dissensions qui font fureur dans les camps maudits de Tindouf.
Ce « cher » oiseau de malheur, pourrait-il être sacrifié sur l’autel des relations bilatérales ?
Remarque, cette pudeur pudibonde, européenne, nommément française, qui balaie d’un revers de main biaisé et partial le germe du mal ( déraison humanitaire ) pour n’en laisser poindre que la partie émergée et migrante, ne chercherait-elle pas, de même à préserver son Algérie à elle ?
Et si l’Espagne relâchait insouciante, téméraire son « ghali » pour qu’il ressuscite, pavane et ses atrocités dans les camps de la honte ?
L’Espagne serait-elle tombée si bas, pour s’embourber de la sorte, nourrir des aberrations pareilles ?
L’Espagne serait-elle naïve jusqu’à ignorer ce renouveau marocain ?
Repose-t-elle, désormais, sur les doléances d’une Algérie souffreteuse, déjà effritée, par terre ?
Alors que les intentions tombent les masques, à tracer le cheminement sinueux de cette bourde , l’on constate la levée par touches successives de ces objets de fâcheries, de disgrâce qui entachent cet Espagne qui ne sait de quelle syllabe donner.
D’abord, on glisse en ouverture , que le cher « Ghali » serait à des lieues d’avoir entamé son escale-sanitaire par le biais d’un faux passeport.
Ceci ne conforte-t-il pas l’idée d’une duperie en gestation qui prépare le « laisser-filer » du tortionnaire ?
Sûrement ! d’une base militaire, faisant « déshonneur » au procédé fomenté dans l’axe Madrid-Alger.
Car c’est bien de par les accointances tissées dans les hautes sphères des pays soulignés que cette parade mise en pièces de par les renseignements marocains fut goupillée .
Alors que ce tour de passe-passe espagnol appuyé sur cette ruée humaine qui mit le cap sur l’enclave de Sebta tombe à l’eau, que le Maroc redouble de fermeté face aux tergiversations espagnoles, quel pas irait encore engager une Espagne mise à nue ?
Et si le « cher » mourait de sa belle mort ? Ceci, il est vrai, conforterait l’Espagne d’une position moins sujette au blâme...
car sans doute, pourrait-elle après coup, battre sa coulpe, reconnaître son « trop » penchant de cœur -humanitaire, alléguer, de manière concomitante, que si le regretté venait à survivre, elle aurait mit son honneur à lever tout entrave pour que la justice fasse le nécessaire, convoque le présumé (innocent), éclaire de ces chefs d’accusations qui pèsent comme plomb sur sa personne.
que du faux passeport, il n’en est rien... et que même si c’en était le cas, ce fut pour des raisons sécuritaires, bref, l’Espagne pourrait chanter à son goût et ses castagnettes les causes de sa...flétrissure.
Ceci dit, gardons sous tête la thèse que l’Algérie aurait à cœur de se délester de ce chef devenu clivant...clin d’œil aux dissensions qui font fureur dans les camps maudits de Tindouf.
Ce « cher » oiseau de malheur, pourrait-il être sacrifié sur l’autel des relations bilatérales ?
Remarque, cette pudeur pudibonde, européenne, nommément française, qui balaie d’un revers de main biaisé et partial le germe du mal ( déraison humanitaire ) pour n’en laisser poindre que la partie émergée et migrante, ne chercherait-elle pas, de même à préserver son Algérie à elle ?
Et si l’Espagne relâchait insouciante, téméraire son « ghali » pour qu’il ressuscite, pavane et ses atrocités dans les camps de la honte ?
L’Espagne serait-elle tombée si bas, pour s’embourber de la sorte, nourrir des aberrations pareilles ?
L’Espagne serait-elle naïve jusqu’à ignorer ce renouveau marocain ?
Repose-t-elle, désormais, sur les doléances d’une Algérie souffreteuse, déjà effritée, par terre ?