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De ces casseurs de bus .mp3 (3.16 Mo)
Sans doute faut-il le concours d’un œil appuyé, sociologue, à cheval sur les êtres et les travers pour nous déficeler cet écheveau de violence qui dort dans ces cerveaux marqués d’un mauvais sceau.
Ces apprentis de la casse, qui ne trouvent de jouissif que de s’acharner sur ce qui revient dans notre conception comme bus. La précision est à propos, car, nous ne savons de quelle transposition ces démons-là sont-ils preneurs, peut-être y voient-ils, sans nous aventurer plus en avant dans des termes psychanalytiques à vous renverser la donne du jour, un ennemi.
Une tête commune, ne volerait pas plus haut que le qualificatif de « fou ». Un mot porte-misère, prêt à vous ranger dans son embarras de ces humeurs hétéroclites, qui n’ont de commun que leurs différences mutuelles.
Peut-être, qu’il sied ici, de nous rattraper, de peur que de bâcler cet entendement final au pied du quel nous nous empressons. Car, serait-il propice que de doubler notre vue de sociologue, celle qui se délecte, la pupille dilatée, de nous pondre de ces lois qui régissent l’être et ses pareils, d’un œil nouveau.
d'un œil taraudé de folie, prêt à l’accoler à qui de droit. Une folie psychiatrique, cela s’entend, passée au crible d’une discipline plus austère que le monde et sa genèse. Dirait-on que chacun, du sociologue ou du psychiatre, se targuerait de la pertinence de sa messe, puisque même un occultiste vous dirait que le casseur serait habité par le diable.
Si ce préambule s’emmêle, s’empêtre dans des débuts de discernements et leurs peines d’aboutir, c’est pour nous rappeler, par le biais du contraste, à l’utile, au pragmatisme, et peut-être à l’immédiat.
Car, dirait-on de ces approches et leurs torpeurs académiques, qui coupent d’avec le réel, qu’elles sont oiseuses, papelardes, et qu’il nous faudrait tuer dans l’œuf de ces comportements non-citoyens qui tombent sous le coup de la loi. Que les trois ans écopés par le casseur du bus, étaient mérités, que sévir contre l’infâme est une bonne recette, et que casser les œufs….
Hicham Aboumerrouane
Ces apprentis de la casse, qui ne trouvent de jouissif que de s’acharner sur ce qui revient dans notre conception comme bus. La précision est à propos, car, nous ne savons de quelle transposition ces démons-là sont-ils preneurs, peut-être y voient-ils, sans nous aventurer plus en avant dans des termes psychanalytiques à vous renverser la donne du jour, un ennemi.
Une tête commune, ne volerait pas plus haut que le qualificatif de « fou ». Un mot porte-misère, prêt à vous ranger dans son embarras de ces humeurs hétéroclites, qui n’ont de commun que leurs différences mutuelles.
Peut-être, qu’il sied ici, de nous rattraper, de peur que de bâcler cet entendement final au pied du quel nous nous empressons. Car, serait-il propice que de doubler notre vue de sociologue, celle qui se délecte, la pupille dilatée, de nous pondre de ces lois qui régissent l’être et ses pareils, d’un œil nouveau.
d'un œil taraudé de folie, prêt à l’accoler à qui de droit. Une folie psychiatrique, cela s’entend, passée au crible d’une discipline plus austère que le monde et sa genèse. Dirait-on que chacun, du sociologue ou du psychiatre, se targuerait de la pertinence de sa messe, puisque même un occultiste vous dirait que le casseur serait habité par le diable.
Si ce préambule s’emmêle, s’empêtre dans des débuts de discernements et leurs peines d’aboutir, c’est pour nous rappeler, par le biais du contraste, à l’utile, au pragmatisme, et peut-être à l’immédiat.
Car, dirait-on de ces approches et leurs torpeurs académiques, qui coupent d’avec le réel, qu’elles sont oiseuses, papelardes, et qu’il nous faudrait tuer dans l’œuf de ces comportements non-citoyens qui tombent sous le coup de la loi. Que les trois ans écopés par le casseur du bus, étaient mérités, que sévir contre l’infâme est une bonne recette, et que casser les œufs….
Hicham Aboumerrouane
Magazine créé avec Madmagz.