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Dans l’allocution du Royaume, lors de la 76e session de l'Assemblée générale des Nations Unies, organisé via une plateforme numérique, Bourita a déclaré que cet engagement « confirme sans aucun doute la volonté des habitants du Sahara marocain de pleinement et s'engager efficacement » en téléchargeant le nouveau modèle de développement des régions du sud qu'il a lancé en 2015 par SM le Roi Mohammed VI.
Le Ministre a indiqué, à cet égard, que le processus électoral au Sahara marocain s'est déroulé, comme dans le reste du Royaume, dans un climat de mobilisation et d'organisation démocratique, et en pleine conformité avec les normes internationales, ce qui confirme le climat de calme dont témoigne la région du Sahara, et la participation de la population sahraouie. Le Maroc est pleinement impliqué dans le développement socio-économique de la région, ainsi que dans sa vie politique.
Il a expliqué que ce fait est évident au regard du record enregistré par la région quant au taux de participation au niveau national, et qui s’est établi à 63% contre 50,8% sur le plan national.
Bourita a par ailleurs réitéré la disponibilité du Maroc à poursuivre la coopération avec les Nations Unies dans le cadre des efforts déployés par le Secrétaire général de l'Organisation pour parvenir à une solution politique réaliste, pratique, durable et consensuelle à la question du Sahara, dans le cadre du plein respect de la souveraineté et de l'intégrité territoriale du Maroc.
Il a souligné que cette solution ne peut être trouvée que dans le cas où l'Algérie accepte de porter sa pleine responsabilité dans le processus de négociation, dans la mesure où celle-ci est pleinement impliquée dans la création et la poursuite de ce conflit, soulignant que l'initiative d'autonomie présentée par le Maroc en 2007 reste le seul horizon pour parvenir à une solution politique définitive ce différend territorial fabriqué de toutes pièces.
Le ministre a également affirmé que le Royaume du Maroc, depuis son indépendance, a placé le soutien à la stabilité dans son environnement régional et international au cœur de sa doctrine diplomatique, car il reste déterminé à œuvrer pour le règlement définitif du différend régional sur le Sahara Marocain, dans le plein respect de son intégrité territoriale et dans le cadre de sa souveraineté nationale.
D’autre part, le chef de la diplomatie a exprimé la profonde préoccupation du Maroc face à la situation humanitaire tragique de la population des camps de Tindouf, où l'Algérie a failli à ses responsabilités envers son peuple, au profit d'un groupe armé séparatiste, en violation flagrante des règles du droit international humanitaire.
A cette occasion, Bourita a appelé la communauté internationale à agir afin de contraindre « le pays hôte » à respecter ses obligations, permettant notamment au Haut-Commissariat aux réfugiés d'enregistrer et de dénombrer cette population en réponse aux appels répétés du Conseil de sécurité de l'ONU.
Le Ministre a indiqué, à cet égard, que le processus électoral au Sahara marocain s'est déroulé, comme dans le reste du Royaume, dans un climat de mobilisation et d'organisation démocratique, et en pleine conformité avec les normes internationales, ce qui confirme le climat de calme dont témoigne la région du Sahara, et la participation de la population sahraouie. Le Maroc est pleinement impliqué dans le développement socio-économique de la région, ainsi que dans sa vie politique.
Il a expliqué que ce fait est évident au regard du record enregistré par la région quant au taux de participation au niveau national, et qui s’est établi à 63% contre 50,8% sur le plan national.
Bourita a par ailleurs réitéré la disponibilité du Maroc à poursuivre la coopération avec les Nations Unies dans le cadre des efforts déployés par le Secrétaire général de l'Organisation pour parvenir à une solution politique réaliste, pratique, durable et consensuelle à la question du Sahara, dans le cadre du plein respect de la souveraineté et de l'intégrité territoriale du Maroc.
Il a souligné que cette solution ne peut être trouvée que dans le cas où l'Algérie accepte de porter sa pleine responsabilité dans le processus de négociation, dans la mesure où celle-ci est pleinement impliquée dans la création et la poursuite de ce conflit, soulignant que l'initiative d'autonomie présentée par le Maroc en 2007 reste le seul horizon pour parvenir à une solution politique définitive ce différend territorial fabriqué de toutes pièces.
Le ministre a également affirmé que le Royaume du Maroc, depuis son indépendance, a placé le soutien à la stabilité dans son environnement régional et international au cœur de sa doctrine diplomatique, car il reste déterminé à œuvrer pour le règlement définitif du différend régional sur le Sahara Marocain, dans le plein respect de son intégrité territoriale et dans le cadre de sa souveraineté nationale.
D’autre part, le chef de la diplomatie a exprimé la profonde préoccupation du Maroc face à la situation humanitaire tragique de la population des camps de Tindouf, où l'Algérie a failli à ses responsabilités envers son peuple, au profit d'un groupe armé séparatiste, en violation flagrante des règles du droit international humanitaire.
A cette occasion, Bourita a appelé la communauté internationale à agir afin de contraindre « le pays hôte » à respecter ses obligations, permettant notamment au Haut-Commissariat aux réfugiés d'enregistrer et de dénombrer cette population en réponse aux appels répétés du Conseil de sécurité de l'ONU.