89 % des femmes ont au moins deux facteurs de risque cardiovasculaire, mais leur suivi est moins fréquent que celui des hommes. En cas d'accident cardiaque, elles sont prises en charge 36 minutes plus tard, avec des conséquences graves sur leur récupération.
Seules 20 % des femmes bénéficient d'un suivi spécialisé malgré le risque accru en période ménopausique. La Fédération française de cardiologie appelle à une sensibilisation pour améliorer la prise en charge des maladies cardiovasculaires chez les femmes.
Seules 20 % des femmes bénéficient d'un suivi spécialisé malgré le risque accru en période ménopausique. La Fédération française de cardiologie appelle à une sensibilisation pour améliorer la prise en charge des maladies cardiovasculaires chez les femmes.