Le conflit entre Israël et le Liban s'intensifie dangereusement. À la suite des frappes aériennes israéliennes visant des cibles du Hezbollah dans la vallée de la Bekaa et la capitale Beyrouth, le bilan humain s'est considérablement alourdi. 274 morts et 1 024 blessés ont été signalés par les autorités libanaises, parmi lesquels se trouvent 21 enfants et 39 femmes. L’armée israélienne (IDF) revendique avoir frappé environ 800 cibles du Hezbollah.
Face à cette escalade, l'Iran a immédiatement réagi. Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanaani, a qualifié les frappes israéliennes de « folles » et a mis en garde contre les « conséquences dangereuses » de ce qu'il appelle « la nouvelle aventure des sionistes ». Selon lui, cette agression israélienne constitue une menace sérieuse pour la paix et la sécurité régionales et internationales. Kanaani a également dénoncé le soutien continu des États-Unis à Israël, qu'il accuse d’être complice de « crimes » en Palestine et désormais au Liban.
En parallèle, le mouvement Ansar Allah du Yémen a réagi via son porte-parole, appelant les pays arabes et musulmans à sortir de leur silence face à cette situation. Il a également réaffirmé le soutien indéfectible du Yémen à la résistance libanaise, qualifiant les actions israéliennes de provocations inacceptables.
Le mouvement Hamas a également pris la parole, condamnant cette offensive israélienne comme un « crime de guerre », reflétant, selon eux, la nature « nazie » du régime sioniste. Ils affirment que ces actions traduisent l’impasse dans laquelle se trouve Israël, tant sur le plan militaire que diplomatique.
Sur le plan militaire, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré qu'Israël cherchait à « changer le rapport de force » sur le front nord, signifiant la volonté d'intensifier les frappes. D'ailleurs, la revue The Economist rapporte qu'Israël pourrait bientôt lancer une offensive terrestre, visant à s'emparer de territoires en profondeur au Liban, ce qui pourrait déstabiliser encore davantage la région.
Sur le terrain, les alarmes continuent de retentir sans relâche dans tout Israël, notamment après la chute d’un missile près de la colonie israélienne de Salfit en Cisjordanie. La tension monte également à l’international, avec le Pentagone qui a annoncé l’envoi de renforts militaires au Moyen-Orient en réponse à l’aggravation des tensions.
Alors que les frappes israéliennes sur Beyrouth se poursuivent, l’incertitude demeure sur la suite des événements. La situation humanitaire au Liban est de plus en plus critique, avec des milliers de déplacés. En réponse, le ministre de l'Intérieur libanais a annoncé l'ouverture des écoles et instituts publics pour héberger les personnes fuyant les zones de conflit.
Le conflit pourrait bien dégénérer en guerre ouverte si l’intervention internationale reste limitée. Les acteurs régionaux, notamment l'Iran, semblent déterminés à ne pas laisser ces attaques sans réponse, augmentant ainsi le risque d'une escalade majeure.
Face à cette escalade, l'Iran a immédiatement réagi. Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanaani, a qualifié les frappes israéliennes de « folles » et a mis en garde contre les « conséquences dangereuses » de ce qu'il appelle « la nouvelle aventure des sionistes ». Selon lui, cette agression israélienne constitue une menace sérieuse pour la paix et la sécurité régionales et internationales. Kanaani a également dénoncé le soutien continu des États-Unis à Israël, qu'il accuse d’être complice de « crimes » en Palestine et désormais au Liban.
En parallèle, le mouvement Ansar Allah du Yémen a réagi via son porte-parole, appelant les pays arabes et musulmans à sortir de leur silence face à cette situation. Il a également réaffirmé le soutien indéfectible du Yémen à la résistance libanaise, qualifiant les actions israéliennes de provocations inacceptables.
Le mouvement Hamas a également pris la parole, condamnant cette offensive israélienne comme un « crime de guerre », reflétant, selon eux, la nature « nazie » du régime sioniste. Ils affirment que ces actions traduisent l’impasse dans laquelle se trouve Israël, tant sur le plan militaire que diplomatique.
Sur le plan militaire, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré qu'Israël cherchait à « changer le rapport de force » sur le front nord, signifiant la volonté d'intensifier les frappes. D'ailleurs, la revue The Economist rapporte qu'Israël pourrait bientôt lancer une offensive terrestre, visant à s'emparer de territoires en profondeur au Liban, ce qui pourrait déstabiliser encore davantage la région.
Sur le terrain, les alarmes continuent de retentir sans relâche dans tout Israël, notamment après la chute d’un missile près de la colonie israélienne de Salfit en Cisjordanie. La tension monte également à l’international, avec le Pentagone qui a annoncé l’envoi de renforts militaires au Moyen-Orient en réponse à l’aggravation des tensions.
Alors que les frappes israéliennes sur Beyrouth se poursuivent, l’incertitude demeure sur la suite des événements. La situation humanitaire au Liban est de plus en plus critique, avec des milliers de déplacés. En réponse, le ministre de l'Intérieur libanais a annoncé l'ouverture des écoles et instituts publics pour héberger les personnes fuyant les zones de conflit.
Le conflit pourrait bien dégénérer en guerre ouverte si l’intervention internationale reste limitée. Les acteurs régionaux, notamment l'Iran, semblent déterminés à ne pas laisser ces attaques sans réponse, augmentant ainsi le risque d'une escalade majeure.