​La justice refuse de classer la plainte des Central Park Five contre Trump

Un juge fédéral de Philadelphie a rejeté la demande de Donald Trump visant à classer une plainte en diffamation déposée par les Central Park Five. Ces derniers l'accusent d'avoir tenu des propos diffamatoires lors d'un débat présidentiel en 2024, affirmant à tort qu'ils avaient plaidé coupable et étaient impliqués dans un décès, alors qu'ils ont été innocentés en 2002. ​

Cette décision judiciaire ravive les débats sur les positions passées de Trump et pourrait influencer son image publique, notamment auprès des électeurs sensibles aux questions de justice raciale.

La Maison Blanche a déclaré que le président Trump reste optimiste quant à la conclusion d'un accord commercial avec la Chine, malgré les tensions persistantes et une guerre commerciale qui affecte les marchés mondiaux. ​

Cette déclaration pourrait apaiser les marchés financiers et signaler une volonté de désescalade dans les relations sino-américaines, cruciales pour l'économie mondiale.

Le président Trump a renouvelé son appel à rendre l'heure d'été permanente, arguant que cela offrirait plus de lumière en soirée et réduirait les coûts liés aux changements d'heure. ​

Cette proposition pourrait influencer les discussions au Congrès et raviver le débat public sur les avantages et inconvénients de l'heure d'été permanente.

Dans une tribune, le journaliste Jonathan Freedland critique la politique étrangère de Trump, affirmant que ses actions détournent l'attention des crises mondiales urgentes comme le changement climatique ou les conflits en Ukraine et au Moyen-Orient. ​

Cette critique souligne les préoccupations quant à la capacité de l'administration Trump à gérer efficacement les enjeux internationaux majeurs.

Un citoyen américano-salvadorien a été expulsé par erreur vers le Salvador par les services de l'immigration sous l’administration Trump, alors qu’il bénéficiait du statut de résident permanent. L’affaire, révélée par The Intercept, provoque une vague d’indignation, d’autant que l’homme a été emprisonné à son arrivée.

Ce scandale remet en question les procédures de vérification de l’identité et les pratiques administratives de l’administration Trump en matière d’immigration. Il pourrait nuire à sa stratégie de reconquête du vote latino en vue de 2025.

Lors d’un meeting au Texas, Trump a évoqué une future collaboration avec SpaceX pour la création d’une base lunaire privée « au nom de la liberté américaine ». Elon Musk a réagi avec humour mais n’a pas démenti.

Cette annonce flirte entre politique-fiction et communication stratégique. Elle repositionne Trump comme candidat futuriste, capable de séduire les milieux technophiles et libertariens.

Truth Social, la plateforme lancée par Trump, annonce une nouvelle version intégrant une IA « patriote », censée « lutter contre la censure woke » et favoriser les contenus pro-américains.

L’initiative illustre la volonté de Trump de court-circuiter les médias traditionnels et les grandes plateformes tech, tout en surfant sur les peurs liées à l’IA « biaisée ».

Une manifestation contre les politiques de Trump sur l’environnement et les droits civiques a viré à l’affrontement entre militants et forces de l’ordre à Portland. Des arrestations et des blessés sont à déplorer.

Les divisions sociales restent explosives. Ces événements pourraient peser dans la balance électorale dans des États-clés, où la polarisation atteint des sommets.

Une méga-église texane a dévoilé une statue dorée de Trump « en héros biblique », suscitant des critiques sur la confusion entre religion et politique.

Cette mise en scène spectaculaire illustre la dimension quasi-messianique de Trump dans certains cercles religieux, mais pourrait choquer l’opinion modérée.

Le 12 avril 2025, l’actualité autour de Trump montre une dualité frappante : d’un côté, il manœuvre sur plusieurs fronts (technologie, espace, religion, commerce), cultivant une image de leader visionnaire et contestataire ; de l’autre, il reste prisonnier de ses polémiques passées et de décisions contestées. Les batailles juridiques, les tensions sociales et le déficit de transparence pourraient éroder son capital électoral… sauf auprès de son noyau dur, de plus en plus radicalisé.