Le Liban continue de subir des frappes massives de l’armée israélienne, alors que le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a diffusé un message vidéo exhortant les civils libanais à « prendre cet avertissement au sérieux » et à évacuer leurs foyers. Les frappes, concentrées dans le sud et l’est du Liban, notamment sur la vallée de la Bekaa et Beyrouth, ciblent des positions supposées du Hezbollah.
Netanyahu a insisté sur le fait que les civils doivent absolument fuir les zones où les infrastructures militaires du Hezbollah seraient présentes, sous peine de subir des pertes supplémentaires. Cette déclaration fait suite à une intensification des frappes israéliennes qui, selon les dernières informations, ont causé 274 morts, dont 21 enfants et 39 femmes. Parmi les cibles, un haut responsable du Hezbollah, Ali Karaki, a été frappé lors d'une attaque, bien que son état reste encore incertain.
En réponse, le Hezbollah a intensifié ses actions militaires, avec la lancée de 200 roquettes en direction du nord d'Israël, dont 25 auraient été tirées en quelques minutes seulement. L’armée israélienne a annoncé avoir intercepté la majorité des roquettes grâce à ses systèmes de défense aérienne, bien que des débris de roquettes aient provoqué des blessures, notamment dans le Golan et à Haïfa. Le ministre des Finances israélien, Bezalel Smotrich, a déclaré qu'Israël « changera les règles du jeu », affirmant que désormais, toute attaque du Hezbollah entraînera une réponse d’une intensité inégalée.
Dans le même temps, la Jordanie a annoncé la suspension de tous ses vols vers Beyrouth, signalant que la situation devenait trop dangereuse pour permettre des déplacements aériens dans cette région.
En parallèle, l'Iran a vivement condamné les frappes israéliennes. Le ministre des Affaires étrangères iranien a dénoncé ce qu'il a qualifié de « crimes évidents soutenus par les États-Unis ». Il a averti que l'Iran ne resterait pas indifférent face à la souffrance des peuples palestinien et libanais, tout en réaffirmant son soutien indéfectible à ces deux nations.
À Washington, le président Joe Biden a tenté de calmer la situation, déclarant que les États-Unis « travaillent à la désescalade » au Liban, sans toutefois prendre de mesures concrètes pour arrêter les frappes israéliennes. Pendant ce temps, le Pentagone a annoncé l’envoi de troupes supplémentaires au Moyen-Orient, renforçant les inquiétudes d’une escalade militaire régionale.
Les tensions sont exacerbées par la tenue de l'Assemblée générale des Nations Unies à New York, où certains pays pourraient appeler à la reconnaissance de la Palestine en tant qu’État, ce qui ajouterait une nouvelle dimension aux tensions dans la région.
Netanyahu a insisté sur le fait que les civils doivent absolument fuir les zones où les infrastructures militaires du Hezbollah seraient présentes, sous peine de subir des pertes supplémentaires. Cette déclaration fait suite à une intensification des frappes israéliennes qui, selon les dernières informations, ont causé 274 morts, dont 21 enfants et 39 femmes. Parmi les cibles, un haut responsable du Hezbollah, Ali Karaki, a été frappé lors d'une attaque, bien que son état reste encore incertain.
En réponse, le Hezbollah a intensifié ses actions militaires, avec la lancée de 200 roquettes en direction du nord d'Israël, dont 25 auraient été tirées en quelques minutes seulement. L’armée israélienne a annoncé avoir intercepté la majorité des roquettes grâce à ses systèmes de défense aérienne, bien que des débris de roquettes aient provoqué des blessures, notamment dans le Golan et à Haïfa. Le ministre des Finances israélien, Bezalel Smotrich, a déclaré qu'Israël « changera les règles du jeu », affirmant que désormais, toute attaque du Hezbollah entraînera une réponse d’une intensité inégalée.
Dans le même temps, la Jordanie a annoncé la suspension de tous ses vols vers Beyrouth, signalant que la situation devenait trop dangereuse pour permettre des déplacements aériens dans cette région.
Réactions internationales : Une inquiétude croissante face à l'escalade
Sur la scène internationale, l'inquiétude grandit. Le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, a exprimé sa profonde préoccupation quant au nombre élevé de victimes civiles, exhortant les parties à faire preuve de retenue. Il a souligné que la situation au Liban représente une menace sérieuse pour la stabilité régionale.En parallèle, l'Iran a vivement condamné les frappes israéliennes. Le ministre des Affaires étrangères iranien a dénoncé ce qu'il a qualifié de « crimes évidents soutenus par les États-Unis ». Il a averti que l'Iran ne resterait pas indifférent face à la souffrance des peuples palestinien et libanais, tout en réaffirmant son soutien indéfectible à ces deux nations.
À Washington, le président Joe Biden a tenté de calmer la situation, déclarant que les États-Unis « travaillent à la désescalade » au Liban, sans toutefois prendre de mesures concrètes pour arrêter les frappes israéliennes. Pendant ce temps, le Pentagone a annoncé l’envoi de troupes supplémentaires au Moyen-Orient, renforçant les inquiétudes d’une escalade militaire régionale.
Les tensions sont exacerbées par la tenue de l'Assemblée générale des Nations Unies à New York, où certains pays pourraient appeler à la reconnaissance de la Palestine en tant qu’État, ce qui ajouterait une nouvelle dimension aux tensions dans la région.