Le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, Volker Türk, a exprimé son indignation après que le ministre israélien des Finances, Bezalel Smotrich, a tenté de justifier la famine à Gaza en déclarant que « Personne dans le monde ne nous laissera affamer deux millions de personnes, bien que peut-être ce soit justifié et moral pour faire libérer les otages » qui y sont retenus depuis l’attaque du Hamas le 7 octobre..
Cette remarque, faite lors d’un colloque sur Gaza alors qu'Israël est en guerre contre le Hamas, a été sévèrement condamnée par l'ONU, qui a qualifié ces propos de crime de guerre et d’incitation à la haine.
Jeremy Laurence, porte-parole du Haut-Commissaire, a dénoncé ces déclarations, soulignant qu’elles encouragent des actes de violence contre des civils innocents et pourraient conduire à d’autres crimes atroces. Il a appelé à une enquête immédiate par les autorités israéliennes et a insisté sur la nécessité de mettre fin à ce type de discours.
Les propos de Smotrich ont provoqué une onde de choc au sein de la communauté internationale, renforçant les appels pour une action urgente afin de protéger les droits des civils à Gaza et de prévenir la montée de la violence.
Cette remarque, faite lors d’un colloque sur Gaza alors qu'Israël est en guerre contre le Hamas, a été sévèrement condamnée par l'ONU, qui a qualifié ces propos de crime de guerre et d’incitation à la haine.
Jeremy Laurence, porte-parole du Haut-Commissaire, a dénoncé ces déclarations, soulignant qu’elles encouragent des actes de violence contre des civils innocents et pourraient conduire à d’autres crimes atroces. Il a appelé à une enquête immédiate par les autorités israéliennes et a insisté sur la nécessité de mettre fin à ce type de discours.
Les propos de Smotrich ont provoqué une onde de choc au sein de la communauté internationale, renforçant les appels pour une action urgente afin de protéger les droits des civils à Gaza et de prévenir la montée de la violence.