Cet atelier, qui a connu la participation de femmes d’affaires et d’acteurs économiques de plusieurs pays arabes, a été l’occasion pour discuter du renforcement de l’autonomisation économique et sociale des jeunes et des femmes.
C’est dans ce sens que Rajae Elharrane, Cheffe du Département de revitalisation entrepreneuriale et d’appui au secteur informel de l’Agence nationale de promotion de l’emploi et des compétences (ANAPEC), a présenté les efforts d’autonomisation économique des femmes dans le cadre du programme gouvernemental “Ana Moukawil” qui se caractérise par l’adoption d’une approche globale et qualitative.
Ce programme a permis d’initier le concept “Ana Moukawila” pour accompagner les femmes entrepreneures, a-t-elle fait savoir.
Et d’ajouter que ce concept s’articule autour de deux axes principaux. Le premier concerne l’accompagnement des femmes entrepreneures porteuses de projets, le travail indépendant, les unités économiques informelles féminines et les très petites entreprises, à travers des centres d’accompagnement à l’entrepreneuriat et une nouvelle génération de services publics visant à soutenir l’entrepreneuriat et les très petites entreprises.
Le second axe porte sur un ensemble de mesures incitatives à l’entrepreneuriat pour soutenir et encourager l’entrepreneuriat d’ici 2026, a indiqué Mme Elharrane.
De son côté, le directeur du Centre de formation et de qualification dans les métiers de l’artisanat relevant de la Fondation Mohammed V pour la Solidarité à Marrakech, Abdelaziz Rghioui, a passé en revue l’expérience du centre en matière de promotion de l’autonomisation économique et sociale des jeunes et des femmes de la région Marrakech-Safi.
Il a souligné l’intérêt du centre pour les femmes qui représentent 75% bénéficiaires de la formation, ajoutant que le centre offre des formations pour l’insertion sur le marché du travail et la création d’opportunités dans le cadre du travail indépendant, et joue un rôle dans la commercialisation des produits coopératifs.
Pour sa part, la conseillère technique de l’Agence de coopération allemande au développement (GIZ), Houda Boutoulout, a présenté la vision globale selon laquelle l’agence opère en harmonie avec les stratégies gouvernementales marocaines.
Elle a en outre fait savoir que l’approche de GIZ est particulièrement préoccupée par les questions d’autonomisation économique des femmes, qu’elles soient entrepreneures, ou actives au sein des entreprises et ce, conformément à trois axes fondamentaux.
Il s’agit de la formation et du renforcement des compétences des femmes entrepreneuses, de la promotion de la culture de l’entrepreneuriat chez les femmes et du développement de partenariats au niveau institutionnel.
Organisé sous le thème “De la résilience à la prospérité”, ce Sommet offre une occasion aux entrepreneurs de tirer parti des opportunités interrégionales qui seront disponibles à travers diverses rencontres, avec une représentation de haut niveau des pays arabes, des organisations régionales et internationales, ainsi que des entités spécialisées dans l’entrepreneuriat et le développement durable.
C’est dans ce sens que Rajae Elharrane, Cheffe du Département de revitalisation entrepreneuriale et d’appui au secteur informel de l’Agence nationale de promotion de l’emploi et des compétences (ANAPEC), a présenté les efforts d’autonomisation économique des femmes dans le cadre du programme gouvernemental “Ana Moukawil” qui se caractérise par l’adoption d’une approche globale et qualitative.
Ce programme a permis d’initier le concept “Ana Moukawila” pour accompagner les femmes entrepreneures, a-t-elle fait savoir.
Et d’ajouter que ce concept s’articule autour de deux axes principaux. Le premier concerne l’accompagnement des femmes entrepreneures porteuses de projets, le travail indépendant, les unités économiques informelles féminines et les très petites entreprises, à travers des centres d’accompagnement à l’entrepreneuriat et une nouvelle génération de services publics visant à soutenir l’entrepreneuriat et les très petites entreprises.
Le second axe porte sur un ensemble de mesures incitatives à l’entrepreneuriat pour soutenir et encourager l’entrepreneuriat d’ici 2026, a indiqué Mme Elharrane.
De son côté, le directeur du Centre de formation et de qualification dans les métiers de l’artisanat relevant de la Fondation Mohammed V pour la Solidarité à Marrakech, Abdelaziz Rghioui, a passé en revue l’expérience du centre en matière de promotion de l’autonomisation économique et sociale des jeunes et des femmes de la région Marrakech-Safi.
Il a souligné l’intérêt du centre pour les femmes qui représentent 75% bénéficiaires de la formation, ajoutant que le centre offre des formations pour l’insertion sur le marché du travail et la création d’opportunités dans le cadre du travail indépendant, et joue un rôle dans la commercialisation des produits coopératifs.
Pour sa part, la conseillère technique de l’Agence de coopération allemande au développement (GIZ), Houda Boutoulout, a présenté la vision globale selon laquelle l’agence opère en harmonie avec les stratégies gouvernementales marocaines.
Elle a en outre fait savoir que l’approche de GIZ est particulièrement préoccupée par les questions d’autonomisation économique des femmes, qu’elles soient entrepreneures, ou actives au sein des entreprises et ce, conformément à trois axes fondamentaux.
Il s’agit de la formation et du renforcement des compétences des femmes entrepreneuses, de la promotion de la culture de l’entrepreneuriat chez les femmes et du développement de partenariats au niveau institutionnel.
Organisé sous le thème “De la résilience à la prospérité”, ce Sommet offre une occasion aux entrepreneurs de tirer parti des opportunités interrégionales qui seront disponibles à travers diverses rencontres, avec une représentation de haut niveau des pays arabes, des organisations régionales et internationales, ainsi que des entités spécialisées dans l’entrepreneuriat et le développement durable.