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Par ailleurs, l'étude met en évidence la nécessité d'un renforcement législatif pour combattre la diffamation et la calomnie sur les plateformes sociales, une préoccupation partagée par 94,6 % des participants. De même, 87,9 % soutiennent la régulation des nouvelles professions liées aux influenceurs et au contenu en ligne.
En ce qui concerne le contenu des réseaux sociaux, l'enquête révèle que 87,6 % des sondés estiment qu'il est plus fréquent d'y trouver du contenu informatif.
En ce qui concerne la confiance dans les sources d'information en ligne, les résultats indiquent que 51,4 % des participants accordent plus de crédibilité aux journalistes professionnels, tandis que 40,7 % font confiance à leurs amis et connaissances qui publient sur leurs propres comptes. Seulement 5,9 % expriment leur confiance envers les créateurs de contenu, et 2 % envers les influenceurs. Près de 94,9 % estiment que la recherche de profit financier compromet la crédibilité et l'objectivité des influenceurs et des créateurs de contenu.
Les données recueillies soulignent également les effets néfastes des réseaux sociaux, avec plus de la moitié des participants signalant avoir été confrontés à des comportements préjudiciables en ligne. Parmi eux, 32,7 % ont été victimes d'insultes et de diffamation, 27,5 % ont été confrontés à des discours haineux pour avoir exprimé leurs opinions personnelles, 19,7 % ont eu leurs comptes personnels piratés, 10,5 % ont été victimes de harcèlement, 9,1 % d'extorsion, 8 % de harcèlement sexuel et 7,8 % de diffamation. Les femmes sont plus susceptibles d'être victimes de harcèlement sexuel, avec une femme sur trois ayant été harcelée, contre 4,3 % chez les hommes.
En ce qui concerne l'impact des réseaux sociaux sur le bien-être mental, une proportion significative des participants reconnaît un effet négatif, tandis qu'une minorité considère qu'ils ont un impact positif.
Enfin, une grande majorité des sondés identifie TikTok comme la plateforme la plus préjudiciable pour la société et les générations futures, suivie de près par d'autres plateformes telles que Snapchat et Instagram. Un consensus se dégage également en faveur de mesures visant à restreindre l'accès aux réseaux sociaux jugés nocifs, ainsi qu'aux sites pornographiques.
En ce qui concerne le contenu des réseaux sociaux, l'enquête révèle que 87,6 % des sondés estiment qu'il est plus fréquent d'y trouver du contenu informatif.
En ce qui concerne la confiance dans les sources d'information en ligne, les résultats indiquent que 51,4 % des participants accordent plus de crédibilité aux journalistes professionnels, tandis que 40,7 % font confiance à leurs amis et connaissances qui publient sur leurs propres comptes. Seulement 5,9 % expriment leur confiance envers les créateurs de contenu, et 2 % envers les influenceurs. Près de 94,9 % estiment que la recherche de profit financier compromet la crédibilité et l'objectivité des influenceurs et des créateurs de contenu.
Les données recueillies soulignent également les effets néfastes des réseaux sociaux, avec plus de la moitié des participants signalant avoir été confrontés à des comportements préjudiciables en ligne. Parmi eux, 32,7 % ont été victimes d'insultes et de diffamation, 27,5 % ont été confrontés à des discours haineux pour avoir exprimé leurs opinions personnelles, 19,7 % ont eu leurs comptes personnels piratés, 10,5 % ont été victimes de harcèlement, 9,1 % d'extorsion, 8 % de harcèlement sexuel et 7,8 % de diffamation. Les femmes sont plus susceptibles d'être victimes de harcèlement sexuel, avec une femme sur trois ayant été harcelée, contre 4,3 % chez les hommes.
En ce qui concerne l'impact des réseaux sociaux sur le bien-être mental, une proportion significative des participants reconnaît un effet négatif, tandis qu'une minorité considère qu'ils ont un impact positif.
Enfin, une grande majorité des sondés identifie TikTok comme la plateforme la plus préjudiciable pour la société et les générations futures, suivie de près par d'autres plateformes telles que Snapchat et Instagram. Un consensus se dégage également en faveur de mesures visant à restreindre l'accès aux réseaux sociaux jugés nocifs, ainsi qu'aux sites pornographiques.