Malgré les avancées médicales, la lèpre reste une réalité au Maroc, avec 14 nouveaux cas recensés en 2024 selon la Direction de l’épidémiologie. Cette maladie, souvent associée au passé, survit dans des zones isolées, révélant les défis persistants en matière de santé publique et d’accès aux soins. La prévalence, faible à 0,06 pour 100 000 habitants, masque cependant des disparités géographiques.
Sur le plan sociétal, les malades souffrent encore de stigmatisation, un obstacle majeur à leur réintégration. Comparée à des pays comme l’Inde, où des campagnes agressives ont réduit les cas, le Maroc doit renforcer la sensibilisation et l’accès aux traitements. À court terme, l’enjeu est d’éradiquer la maladie, tandis qu’à long terme, l’éducation sanitaire pourrait jouer un rôle clé pour prévenir son retour.
Sur le plan sociétal, les malades souffrent encore de stigmatisation, un obstacle majeur à leur réintégration. Comparée à des pays comme l’Inde, où des campagnes agressives ont réduit les cas, le Maroc doit renforcer la sensibilisation et l’accès aux traitements. À court terme, l’enjeu est d’éradiquer la maladie, tandis qu’à long terme, l’éducation sanitaire pourrait jouer un rôle clé pour prévenir son retour.