Une mutation de l'ADN mitochondrial, découverte par l'Université de Californie, semble réduire de moitié le risque de maladie de Parkinson.
Cette mutation affecte la petite protéine mitochondriale SHLP2, la rendant plus stable et la protégeant contre les dysfonctionnements. Cette découverte ouvre la voie à de nouveaux traitements potentiels contre la maladie de Parkinson.
Cette mutation affecte la petite protéine mitochondriale SHLP2, la rendant plus stable et la protégeant contre les dysfonctionnements. Cette découverte ouvre la voie à de nouveaux traitements potentiels contre la maladie de Parkinson.