Sous la présidence du ministre du transport et de la logistique, Mohammed Abdeljalil, Casablanca a reçu Lundi 13 mars, les travaux de la 46ème et 17ème réunion des groupes scientifiques sur la prévention de la pollution des mers.
Se tenant du 13 au 17 mars courant, la réunion des groupes de recherche scientifique porte sur l'application des dispositions pertinentes de la convention de Londres de 1972 et son protocole de 1996, relatives à la prévention de la pollution des mers par immersion de déchets et d'autres matériaux provenant des navires, aéronefs et plates-formes.
Elle s'inscrit également dans le cadre de la coopération technique du ministère du transport et de la logistique avec l'Organisation maritime internationale (OMI).
D'autant plus que les travaux de cette rencontre, s'appuient sur l'élaboration des directives pour sélectionner les sites d'immersion de déchets et d'autres matières en mer, ainsi que pour des plans de gestion et de surveillance des sites.
Plus précisément, l'évacuation des déchets et autres matières d'exploitation minière, dans les milieux marins, et ce bien sûr sans oublier la définition des mesures de coopération pour estimer les dégâts des déchets provenant de munitions chimiques immergées en mer, sur l'environnement.
Se tenant du 13 au 17 mars courant, la réunion des groupes de recherche scientifique porte sur l'application des dispositions pertinentes de la convention de Londres de 1972 et son protocole de 1996, relatives à la prévention de la pollution des mers par immersion de déchets et d'autres matériaux provenant des navires, aéronefs et plates-formes.
Elle s'inscrit également dans le cadre de la coopération technique du ministère du transport et de la logistique avec l'Organisation maritime internationale (OMI).
D'autant plus que les travaux de cette rencontre, s'appuient sur l'élaboration des directives pour sélectionner les sites d'immersion de déchets et d'autres matières en mer, ainsi que pour des plans de gestion et de surveillance des sites.
Plus précisément, l'évacuation des déchets et autres matières d'exploitation minière, dans les milieux marins, et ce bien sûr sans oublier la définition des mesures de coopération pour estimer les dégâts des déchets provenant de munitions chimiques immergées en mer, sur l'environnement.
L'environnement marin, priorité pour la durabilité en Afrique
Mohammed Abdeljalil exprime que cette rencontre internationale scientifique, qui s'inscrit dans le cadre de la mise en oeuvre des dispositions du protocole de Londres, ratifié par le Maroc en 2016, porte sur la gestion des déchets dans les mers, qu'ils soient liés aux avions, aux bateaux ou à l'exploitation des ressources aquatiques.
Le fait d'organiser cet événement au royaume, démontre l'importance accordée à la mer, à la navigation maritime et aux ports par le Maroc. En outre, elle met en relief la reconnaissance par l'OMI du rôle joué par le Maroc au sein de cet organisme ainsi que son rôle de leader en matière de bonnes pratiques de protection des environnements maritimes et de renforcement de leur durabilité.
Le président des réunions des groupes scientifiques pour la convention et le protocole de Londres, Vergas Guerra, se réjouit de la qualité de la coopération avec le Maroc, de sa contribution à la promotion de cet évènement sur l'échelle internationale et des actions du pays en faveur de la durabilité en Afrique.
Il ajoute que les travaux qui auront lieu cette semaine, sont d'une grande importance puisqu'ils permettent d'enrichir le débat sur le changement climatique dans les milieux maritimes.
Le fait d'organiser cet événement au royaume, démontre l'importance accordée à la mer, à la navigation maritime et aux ports par le Maroc. En outre, elle met en relief la reconnaissance par l'OMI du rôle joué par le Maroc au sein de cet organisme ainsi que son rôle de leader en matière de bonnes pratiques de protection des environnements maritimes et de renforcement de leur durabilité.
Le président des réunions des groupes scientifiques pour la convention et le protocole de Londres, Vergas Guerra, se réjouit de la qualité de la coopération avec le Maroc, de sa contribution à la promotion de cet évènement sur l'échelle internationale et des actions du pays en faveur de la durabilité en Afrique.
Il ajoute que les travaux qui auront lieu cette semaine, sont d'une grande importance puisqu'ils permettent d'enrichir le débat sur le changement climatique dans les milieux maritimes.
14 pays d'Afrique sur le protocole
Un atelier a été organisé du 08 au 10 mars à Casablanca, au profit de 14 pays de l'Afrique de l'ouest et de la Méditerranée, sur la convention de Londres et son protocole.
Il a eu pour but, l'augmentation du nombre d'adhésion au protocole, en multipliant un maximum les avantages qui peuvent être tirés de sa mise en oeuvre, notamment dans le contexte de l'Agenda 2030 pour le développement durable.
Des délégations de parties contractantes à la convention de Londres ainsi que des observatrices et observateurs des organismes intergouvernementaux et non gouvernementaux bénéficiant du statut consultatif, ont tous participé à cet atelier.
Il a eu pour but, l'augmentation du nombre d'adhésion au protocole, en multipliant un maximum les avantages qui peuvent être tirés de sa mise en oeuvre, notamment dans le contexte de l'Agenda 2030 pour le développement durable.
Des délégations de parties contractantes à la convention de Londres ainsi que des observatrices et observateurs des organismes intergouvernementaux et non gouvernementaux bénéficiant du statut consultatif, ont tous participé à cet atelier.