Il est difficile de se réjouir des droits des femmes lorsque, dans différentes parties du monde, des femmes et des filles sont confrontées à des situations de violence, de privation et d'oppression.
Les Palestiniennes subissent un génocide, la famine, le viol et les agressions sexuelles de la part de l'IOF, sans accès à la justice menstruelle, avec une augmentation des problèmes de santé mentale et physique.
Les Soudanaises voient leur corps utilisé comme arme de guerre par des hommes avides de pouvoir, tandis que leurs voix sont étouffées et que l'accès à l'information est restreint.
Les Afghanes subissent un apartheid de genre, avec des droits humains de base niés, un accès limité à l'éducation et à la liberté d'expression.
Les Congolaises sont victimes de l'exploitation et du capitalisme, alimentant les industries technologiques occidentales tout en subissant des abus et des décès évitables.
Dans la région du Tigré, des actes de violence sexuelle généralisée ont été signalés, tandis que les femmes et les filles marocaines, libyennes, turques et syriennes se remettent encore des conséquences dévastatrices des conflits créés par l'homme.
En Iran, les droits des femmes sont bafoués par l'imposition du hijab obligatoire, et les mutilations génitales féminines persistent dans des endroits comme la Sierra Leone.
Il est temps de regarder au-delà des discours creux sur l'activisme et la solidarité.
Si le féminisme ne prend pas en compte toutes les femmes, dans toute leur diversité, alors il ne peut pas atteindre son objectif ultime : l'égalité pour toutes.
Tant qu'une seule femme reste opprimée, nous ne pouvons pas prétendre être vraiment libres.
Il est temps d'agir, de reconnaître les luttes de toutes les femmes et de travailler ensemble pour un monde où chacune est libre de vivre sans peur, sans oppression et avec dignité.
Ce n'est que lorsque nous incluons toutes les voix que nous pouvons vraiment célébrer le mois de l'histoire des femmes avec honnêteté et justice.
Les Soudanaises voient leur corps utilisé comme arme de guerre par des hommes avides de pouvoir, tandis que leurs voix sont étouffées et que l'accès à l'information est restreint.
Les Afghanes subissent un apartheid de genre, avec des droits humains de base niés, un accès limité à l'éducation et à la liberté d'expression.
Les Congolaises sont victimes de l'exploitation et du capitalisme, alimentant les industries technologiques occidentales tout en subissant des abus et des décès évitables.
Dans la région du Tigré, des actes de violence sexuelle généralisée ont été signalés, tandis que les femmes et les filles marocaines, libyennes, turques et syriennes se remettent encore des conséquences dévastatrices des conflits créés par l'homme.
En Iran, les droits des femmes sont bafoués par l'imposition du hijab obligatoire, et les mutilations génitales féminines persistent dans des endroits comme la Sierra Leone.
Il est temps de regarder au-delà des discours creux sur l'activisme et la solidarité.
Si le féminisme ne prend pas en compte toutes les femmes, dans toute leur diversité, alors il ne peut pas atteindre son objectif ultime : l'égalité pour toutes.
Tant qu'une seule femme reste opprimée, nous ne pouvons pas prétendre être vraiment libres.
Il est temps d'agir, de reconnaître les luttes de toutes les femmes et de travailler ensemble pour un monde où chacune est libre de vivre sans peur, sans oppression et avec dignité.
Ce n'est que lorsque nous incluons toutes les voix que nous pouvons vraiment célébrer le mois de l'histoire des femmes avec honnêteté et justice.
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Salma LABTAR