Décidément, le triple scrutin du 8 septembre 2021 aura été singulier à plus d’un titre. Il est annoncé un taux de participation élevé dans les provinces du Sud. Cela n’a rien d’étonnant en soi, puisque c’était déjà le cas en 2016, quand il s’est chiffré à plus de 76%.
Le polisario qui demande aux Nations Unies d’empêcher le déroulement des élections dans les provinces du Sud, ceci non plus n’a rien d’étrange. La participation massive des Marocains sahraouis aux scrutins électoraux est, à plus d’un titre, dévastatrice pour les polisariens.
D’une part, ces élections font office de référendum d’autodétermination, confirmant tous les cinq ans l’attachement des habitants des provinces du Sud à leur marocanité.
D’autre part, elles permettent de mettre en avant les véritables représentants des Marocains sahraouis, cassant le fond de commerce du polisario, qui se démène pour se faire passer pour l’unique porte-parole des sahraouis.
Enfin, les représentants des habitants du Sud sont élus, alors que dans les camps de Tindouf, les dirigeants du polisario sont choisis par les caporaux d’Alger et cooptés par des congressistes non-élus.
Tout cela est classique, la véritable nouveauté réside dans la participation de polisariens aux élections marocaines !
Des Marocains sahraouis ont commencé par constater, non sans consternation, que des ‘séparatistes de l’intérieur’ étaient engagés dans les campagnes électorales de candidats unionistes.
La question s’impose d’elle-même : comment peut-on se dire non-marocain et, en même temps, prendre part aux activités politiques de partis marocains ?
Mais la surprise ne s’arrête pas là. Des sahraouis polisariens résidant en Espagne et en France, mais également dans les camps de Tindouf, ont envoyé des procurations pour participer au vote du 8 septembre !
Comme ces procurations doivent être certifiées conformes par les consulats du Maroc à l’étranger, cela veut dire que lesdits ‘séparatistes’ se sont inscrits auprès des représentations diplomatiques du Maroc en Espagne, en France et en Mauritanie en tant que citoyens marocains, pour disposer de numéros d’immatriculation consulaires.
La blague qui circule actuellement, dans les provinces du Sud, entre Marocains sahraouis bons patriotes, dit que la participation des polisariens aux scrutins électoraux ne va pas manquer de rehausser le taux de participation. Ce qui va, bien sûr, à l’encontre des thèses fallacieuses des séparatistes.
Les Marocains sahraouis ne se gênent pas pour se moquer des polisariens, séparatistes un jour et citoyens marocains, exerçant pleinement leurs droits, le lendemain. L’appellation ‘mercenaires’, qu’avait accolé feu Hassan II aux polisariens, revient dans toutes les bouches.
Aux séparatistes de l’intérieur, il est donné un conseil pertinent : prenez un bidon d’eau de cinq lites et tracez votre chemin vers les camps de Tindouf, personne ne va vous empêcher de rejoindre vos copains polisariens.
Les élections au Maroc sont très suivies dans les camps de Tindouf. Ce qui laisse penser que si des bureaux de vote y avaient été ouverts, les habitants des camps se seraient précipités pour y prendre part.
Imaginez une affiche électorale accolée dans les camps de Tindouf, avec en tête de liste Brahim Ghali, se présentant comme le pur marocain qu’il est en effet, originaire de Kelaat Sraghna.
« Votez pour moi et je m’engage à trahir les caporaux d’Alger comme j’ai déjà trahi mon pays, j’y suis donc habitué. J’ai commencé ma carrière comme simple mouchard au service de l’occupant espagnol, avant de m’enfoncer dans les profondeurs de l’infamie.
« Pour me seconder sur la liste, El Bachir Mustapha Sayed, qui a trahi son propre frère, le fondateur du polisario. C’est vous dire à quel point vous pouvez lui accorder votre confiance !
« Nous regrettons tous le départ de Sid Ahmed Batal, grand tortionnaire devant le Créateur, qui avait perdu la vue en se faisant tirer dessus par un soldat marocain. Il aurait parfaitement trouvé sa place sur notre liste d’assassins.
« Notre programme est d’organiser le 2ème épisode de la Marche verte intitulé ‘Retour à la mère patrie’, puisqu’il n’y a plus rien à faire en Algérie. Nous leur avons déjà dévoré une bonne partie de leurs recettes pétrolières. Maintenant, ce sont les Algériens qui nous font de la concurrence, en réclamant leur droit à l’autodétermination.
« En attendant, priez pour que les drones marocains nous laissent passer. Ils ont la fâcheuse manie d’éliminer tous ceux qui tentent de s’infiltrer dans la zone démilitarisée ».
Avec un tel discours électoral, Brahim Ghali se serait fait appeler ‘Benbatouche’ et sûrement porté à la députation du bagne de Tazmamart, rouvert spécialement pour l’accueillir le restant de sa vie.
Dommage qu’il ait choisi de se terrer à Cuba, pour éviter de se faire lyncher par ses ‘électeurs’, qui vont devoir opter pour un candidat bon patriote marocain.
Le polisario qui demande aux Nations Unies d’empêcher le déroulement des élections dans les provinces du Sud, ceci non plus n’a rien d’étrange. La participation massive des Marocains sahraouis aux scrutins électoraux est, à plus d’un titre, dévastatrice pour les polisariens.
D’une part, ces élections font office de référendum d’autodétermination, confirmant tous les cinq ans l’attachement des habitants des provinces du Sud à leur marocanité.
D’autre part, elles permettent de mettre en avant les véritables représentants des Marocains sahraouis, cassant le fond de commerce du polisario, qui se démène pour se faire passer pour l’unique porte-parole des sahraouis.
Enfin, les représentants des habitants du Sud sont élus, alors que dans les camps de Tindouf, les dirigeants du polisario sont choisis par les caporaux d’Alger et cooptés par des congressistes non-élus.
Tout cela est classique, la véritable nouveauté réside dans la participation de polisariens aux élections marocaines !
Des Marocains sahraouis ont commencé par constater, non sans consternation, que des ‘séparatistes de l’intérieur’ étaient engagés dans les campagnes électorales de candidats unionistes.
La question s’impose d’elle-même : comment peut-on se dire non-marocain et, en même temps, prendre part aux activités politiques de partis marocains ?
Mais la surprise ne s’arrête pas là. Des sahraouis polisariens résidant en Espagne et en France, mais également dans les camps de Tindouf, ont envoyé des procurations pour participer au vote du 8 septembre !
Comme ces procurations doivent être certifiées conformes par les consulats du Maroc à l’étranger, cela veut dire que lesdits ‘séparatistes’ se sont inscrits auprès des représentations diplomatiques du Maroc en Espagne, en France et en Mauritanie en tant que citoyens marocains, pour disposer de numéros d’immatriculation consulaires.
La blague qui circule actuellement, dans les provinces du Sud, entre Marocains sahraouis bons patriotes, dit que la participation des polisariens aux scrutins électoraux ne va pas manquer de rehausser le taux de participation. Ce qui va, bien sûr, à l’encontre des thèses fallacieuses des séparatistes.
Les Marocains sahraouis ne se gênent pas pour se moquer des polisariens, séparatistes un jour et citoyens marocains, exerçant pleinement leurs droits, le lendemain. L’appellation ‘mercenaires’, qu’avait accolé feu Hassan II aux polisariens, revient dans toutes les bouches.
Aux séparatistes de l’intérieur, il est donné un conseil pertinent : prenez un bidon d’eau de cinq lites et tracez votre chemin vers les camps de Tindouf, personne ne va vous empêcher de rejoindre vos copains polisariens.
Les élections au Maroc sont très suivies dans les camps de Tindouf. Ce qui laisse penser que si des bureaux de vote y avaient été ouverts, les habitants des camps se seraient précipités pour y prendre part.
Imaginez une affiche électorale accolée dans les camps de Tindouf, avec en tête de liste Brahim Ghali, se présentant comme le pur marocain qu’il est en effet, originaire de Kelaat Sraghna.
« Votez pour moi et je m’engage à trahir les caporaux d’Alger comme j’ai déjà trahi mon pays, j’y suis donc habitué. J’ai commencé ma carrière comme simple mouchard au service de l’occupant espagnol, avant de m’enfoncer dans les profondeurs de l’infamie.
« Pour me seconder sur la liste, El Bachir Mustapha Sayed, qui a trahi son propre frère, le fondateur du polisario. C’est vous dire à quel point vous pouvez lui accorder votre confiance !
« Nous regrettons tous le départ de Sid Ahmed Batal, grand tortionnaire devant le Créateur, qui avait perdu la vue en se faisant tirer dessus par un soldat marocain. Il aurait parfaitement trouvé sa place sur notre liste d’assassins.
« Notre programme est d’organiser le 2ème épisode de la Marche verte intitulé ‘Retour à la mère patrie’, puisqu’il n’y a plus rien à faire en Algérie. Nous leur avons déjà dévoré une bonne partie de leurs recettes pétrolières. Maintenant, ce sont les Algériens qui nous font de la concurrence, en réclamant leur droit à l’autodétermination.
« En attendant, priez pour que les drones marocains nous laissent passer. Ils ont la fâcheuse manie d’éliminer tous ceux qui tentent de s’infiltrer dans la zone démilitarisée ».
Avec un tel discours électoral, Brahim Ghali se serait fait appeler ‘Benbatouche’ et sûrement porté à la députation du bagne de Tazmamart, rouvert spécialement pour l’accueillir le restant de sa vie.
Dommage qu’il ait choisi de se terrer à Cuba, pour éviter de se faire lyncher par ses ‘électeurs’, qui vont devoir opter pour un candidat bon patriote marocain.