La réforme de la Moudawana, initiée par le Souverain il y a quelques mois, continue de susciter des débats passionnés sur des questions telles que l'héritage, la liberté des femmes et la parité. Malgré l'adoption de l'égalité en matière d'héritage par certains, cette mesure est souvent contestée par d'autres, comme le révèle une étude du cabinet "Sunérigia" selon laquelle 69% des Marocains rejettent toujours cette idée.
Inspirées du rite malékite, les lois régissant l'héritage sont codifiées dans le droit successoral, déterminant les parts des héritiers. Cependant, la règle de la demi-part, qui accorde aux hommes le double de ce que reçoivent les femmes, continue de susciter des débats.
Ce débat animé implique une diversité d'acteurs, tels que les militants des droits humains, les oulémas, les associations féministes, les prêcheurs, les associations islamistes et les influenceurs du monde virtuel, qui tentent d'éviter une confrontation directe sur un sujet sensible.
Les protagonistes se divisent généralement en trois catégories : ceux qui rejettent tout débat en se référant aux textes religieux, ceux qui réclament l'égalité basée sur des principes séculiers et ceux qui tentent de concilier les références religieuses et séculières pour promouvoir l'égalité en matière d'héritage.
Ce débat, qui soulève des controverses, semble donc plonger la société marocaine dans une atmosphère d'hostilité et de réticence.
Inspirées du rite malékite, les lois régissant l'héritage sont codifiées dans le droit successoral, déterminant les parts des héritiers. Cependant, la règle de la demi-part, qui accorde aux hommes le double de ce que reçoivent les femmes, continue de susciter des débats.
Ce débat animé implique une diversité d'acteurs, tels que les militants des droits humains, les oulémas, les associations féministes, les prêcheurs, les associations islamistes et les influenceurs du monde virtuel, qui tentent d'éviter une confrontation directe sur un sujet sensible.
Les protagonistes se divisent généralement en trois catégories : ceux qui rejettent tout débat en se référant aux textes religieux, ceux qui réclament l'égalité basée sur des principes séculiers et ceux qui tentent de concilier les références religieuses et séculières pour promouvoir l'égalité en matière d'héritage.
Ce débat, qui soulève des controverses, semble donc plonger la société marocaine dans une atmosphère d'hostilité et de réticence.